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Alex Palou, champion IndyCar 2021, de passage à l’Automobile Club de Monaco
26 avril 2024

Alex Palou, champion IndyCar 2021, de passage à l’Automobile Club de Monaco

En Principauté pour quelques jours, le pilote du Chip Ganassi Racing était en visite à l’Automobile Club de Monaco, où il a pris quelques minutes pour se confier sur cette année 2021 qui l’a vu être sacré champion IndyCar, avant d’apprécier son déjeuner au Restaurant « Le Club ». Rencontre. 

3 victoires, 5 podiums, 549 points… Voilà ce qui a permis à Alex Palou de décrocher son premier titre en IndyCar. Pour sa seconde saison dans la discipline, l’Espagnol avait quitté Dale Coyne Racing pour rejoindre Chip Ganassi Racing, où il a découvert de nouveaux coéquipiers parmi lesquels l’ancien pilote de F1, Marcus Ericsson, ou encore le sextuple champion IndyCar, Scott Dixon. « C’est vraiment incroyable de faire partie d’une grande équipe comme Ganassi », souffle Alex Palou. « Nous avons l’opportunité de profiter de superbes infrastructures et aussi d’avoir de bons coéquipiers, avec plus d’informations à notre disposition et plus de personnes qui nous poussent à obtenir de bons résultats. » 

Le natif de Barcelone est ainsi devenu le 14e champion sous les couleurs de Ganassi. De son propre aveu, « l’équipe a joué un grand rôle » dans la quête du titre, tout comme l’expérience qu’il a engendrée depuis son arrivée sur le sol américain. Alex Palou insiste : « Nous apprenions encore puisque c’était ma deuxième année en IndyCar, donc j’ai découvert de nouveaux tracés. Il y a eu 16 courses cette saison et je n’avais piloté que sur 8 ou 9 de ces circuits. Ce fut une très bonne année d’apprentissage, nous avons été forts et très constants tout au long de la saison. »

Un seul regret : les 500 miles d’Indianapolis

La saison du pilote de 24 ans a démarré sur les chapeaux de roue puisqu’il s’est imposé dès la première course, en Alabama. Ce succès a donné le ton pour la suite et l’ancien pensionnaire de GP3 Series a bâti son sacre sur ses excellents résultats. « Nous savions en début d’année que nous pouvions nous battre pour le titre. Il y avait peut-être dix autres pilotes qui auraient pu remporter le championnat, mais nous étions conscients que nous avions les outils pour nous mêler à la bataille », admet-il. 

Alex Palou estime d’ailleurs que les autres équipes ne l’ont peut-être pas vu venir. « Nous savions aussi que les autres équipes et pilotes ne me surveillaient pas vraiment car je viens d’Europe et que j’avais roulé au Japon. Ils ne m’avaient pas remarqué mais c’était une bonne chose ! Il n’y avait pas trop de pression, les regards n’étaient pas forcément braqués sur moi et je pouvais complètement me concentrer sur la course et obtenir de bons résultats. » Et de prévenir dans un sourire : « L’année prochaine, ils garderont peut-être un œil sur moi. »

S’il est aujourd’hui champion, le pilote Ganassi conserve un petit regret sur sa saison. Tout s’est passé du côté d’Indianapolis à la mi-mai, lorsqu’il s’est finalement incliné face Hélio Castroneves, quadruple vainqueur des mythiques 500 miles. Malgré le fait qu’il soit monté sur la deuxième marche du podium, Alex Palou confie : « Je pense que c’est la seule course pour laquelle vous êtes vraiment en colère si vous terminez deuxième. Sur les autres courses, il peut y avoir de la déception mais vous êtes quand même content d’être sur le podium. Remporter l’Indy 500 aurait été incroyable. » Une nouvelle chance se présentera à lui le 29 mai prochain, aux mêmes dates que le Grand Prix de Monaco. 

« Je veux le revivre »  

En étant sacré à Long Beach le 26 septembre, Alex Palou est devenu le premier espagnol à remporter le championnat IndyCar. « C’est vraiment spécial, affirme-t-il. De toute évidence, l’important était d’être champion, mais si vous pouvez être le premier de l’histoire, cela restera dans les livres pour toujours. » Avec ce titre, il espère également « ouvrir des portes » aux jeunes filles et garçons qui rêvent de réussir dans le sport automobile. Alex Palou est la preuve, s’il en fallait une, que les Européens peuvent aussi gagner sur les circuits ovales et connaître de beaux succès en IndyCar. 

La saison 2022 démarrera en Floride, à St-Petersburg, fin février. Sa préparation, l’Espagnol l’a déjà entamée, même s’il reconnaît que la période des fêtes sera surtout l’occasion de retrouver ses proches et célébrer son année 2021 avec eux. Recharger les batteries pour revenir encore plus fort. Car devenir champion a donné encore plus la soif de victoire à Alex Palou. « Avant mon titre, je pensais que j’avais plus envie que tous les autres pilotes, mais maintenant que j’ai connu ce sentiment d’être champion et à quel point cela fait du bien, je veux le revivre. » Le rendez-vous est pris.

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