Depuis son édition 2018, conscient d’avoir à revaloriser un important patrimoine international, le Comité d’Organisation et la Commission des Voitures de Collection de l’Automobile Club de Monaco ont décidé d’opérer une retouche à leur meeting en privilégiant la Formule 1. Ainsi en 2021, dans le cadre authentique et magique du circuit de la Principauté, le Grand Prix de Monaco Historique, 12e de son histoire, reste fidèle à cet engagement en célébrant notamment le premier succès de Ferrari en Championnat du Monde…
L’édition 2020, fidèle à cet axe, se proposait de célébrer les 70 ans de la naissance du Championnat du Monde de Formule 1. Hélas la pandémie du Covid 19 en a décidé autrement. Aussi sévère soit-elle, l’épidémie n’a cependant pas mis à mal le plateau actuel et 2021 va permettre aux amateurs de la discipline reine de disputer de véritables courses.
Malgré les contraintes sanitaires du moment, plus de 90 concurrents seront présents. Et chaque plateau aura de quoi émerveiller passionnés et connaisseurs ! La bataille au sommet des voiturettes (Série A), les iconiques Maserati 250F faisant face à une belle diversité de monoplaces à moteur (Série B), la richesse des Série C (Voitures de Sport) et D (F1 des sixties), mais aussi le tiers de la Série E, composé de 12 cylindres (Ferrari, Matra et BRM), la Série F avec trois anciens pilotes de Grand Prix et un multiple vainqueur des 24 Heures du Mans et enfin, la Série G avec des F1 les plus récentes, diverses et très colorées…
La diversité et la richesse des plateaux vont même permettre de mettre à l’honneur la marque Ferrari et de célébrer ainsi, comme il se doit, la première victoire en Championnat du Monde de Formule 1 obtenue par l’Argentin Froilan Gonzales en 1951 sur le circuit de Silverstone.
Ainsi, on aura le plaisir de voir courir quatre modèles ayant écrit les plus belles pages du sport automobile :
La Dino 246, n°20 en Série B, pour témoigner de l’époque où les monoplaces de la marque italienne étaient équipées de moteurs avant. La voiture présente étant la dernière F1 à moteur avant à avoir remporté un Grand Prix en l’occurrence celui d’Italie 1960 à Monza aux mains de Phil Hill.
En Série C, la 250 Mille Miglia de 1953 pour rappeler la seule année 1952 où les F1 ont été remplacées à Monaco par les Voitures de Sport.
Les quatre (oui 4 !!) types 312 en Série E (n°3/4/6/8) pour évoquer la période des premières F1-3 Litres.
Les deux 312B3 en Série F, respectivement pilotées par Jean Alesi et René Arnoux (anciens pilotes officiels et vainqueurs dans leurs carrières respectives avec la Scuderia), pour témoigner la renaissance de la firme de Maranello, à nouveau victorieuse grâce à Niki Lauda dès 1974.
Pour cette sélection non-exhaustive, autant que pour le reste du plateau, pris à l’unité ou dans son ensemble, c’est la rareté et du très exceptionnel qui attend les spectateurs, avec 7 grilles de départ différentes et près de cent voitures toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres, dotées d’un degré de conservation unique en son genre.
Pendant deux jours et demi, les concurrents vont ainsi partager leur passion pour la compétition au plus haut niveau, en situation de course réelle, avec les bruits et les odeurs qui caractérisent leurs voitures, confrontées à celles avec lesquelles elles concourraient jadis pour la victoire sur un circuit édifié au cœur de la Principauté de Monaco, dont le tracé, identique à 80% à celui de 1929, est encore et toujours utilisé aujourd’hui dans le cadre du Championnat du Monde FIA de Formule 1…
Depuis son édition 2018, conscient d’avoir à revaloriser un important patrimoine international, le Comité d’Organisation et la Commission des Voitures de Collection de l’Automobile Club de Monaco ont décidé d’opérer une retouche à leur meeting en privilégiant la Formule 1. Ainsi en 2021, dans le cadre authentique et magique du circuit de la Principauté, le Grand Prix de Monaco Historique, 12e de son histoire, reste fidèle à cet engagement en célébrant notamment le premier succès de Ferrari en Championnat du Monde…
L’édition 2020, fidèle à cet axe, se proposait de célébrer les 70 ans de la naissance du Championnat du Monde de Formule 1. Hélas la pandémie du Covid 19 en a décidé autrement. Aussi sévère soit-elle, l’épidémie n’a cependant pas mis à mal le plateau actuel et 2021 va permettre aux amateurs de la discipline reine de disputer de véritables courses.
Malgré les contraintes sanitaires du moment, plus de 90 concurrents seront présents. Et chaque plateau aura de quoi émerveiller passionnés et connaisseurs ! La bataille au sommet des voiturettes (Série A), les iconiques Maserati 250F faisant face à une belle diversité de monoplaces à moteur (Série B), la richesse des Série C (Voitures de Sport) et D (F1 des sixties), mais aussi le tiers de la Série E, composé de 12 cylindres (Ferrari, Matra et BRM), la Série F avec trois anciens pilotes de Grand Prix et un multiple vainqueur des 24 Heures du Mans et enfin, la Série G avec des F1 les plus récentes, diverses et très colorées…
La diversité et la richesse des plateaux vont même permettre de mettre à l’honneur la marque Ferrari et de célébrer ainsi, comme il se doit, la première victoire en Championnat du Monde de Formule 1 obtenue par l’Argentin Froilan Gonzales en 1951 sur le circuit de Silverstone.
Ainsi, on aura le plaisir de voir courir quatre modèles ayant écrit les plus belles pages du sport automobile :
La Dino 246, n°20 en Série B, pour témoigner de l’époque où les monoplaces de la marque italienne étaient équipées de moteurs avant. La voiture présente étant la dernière F1 à moteur avant à avoir remporté un Grand Prix en l’occurrence celui d’Italie 1960 à Monza aux mains de Phil Hill.
En Série C, la 250 Mille Miglia de 1953 pour rappeler la seule année 1952 où les F1 ont été remplacées à Monaco par les Voitures de Sport.
Les quatre (oui 4 !!) types 312 en Série E (n°3/4/6/8) pour évoquer la période des premières F1-3 Litres.
Les deux 312B3 en Série F, respectivement pilotées par Jean Alesi et René Arnoux (anciens pilotes officiels et vainqueurs dans leurs carrières respectives avec la Scuderia), pour témoigner la renaissance de la firme de Maranello, à nouveau victorieuse grâce à Niki Lauda dès 1974.
Pour cette sélection non-exhaustive, autant que pour le reste du plateau, pris à l’unité ou dans son ensemble, c’est la rareté et du très exceptionnel qui attend les spectateurs, avec 7 grilles de départ différentes et près de cent voitures toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres, dotées d’un degré de conservation unique en son genre.
Pendant deux jours et demi, les concurrents vont ainsi partager leur passion pour la compétition au plus haut niveau, en situation de course réelle, avec les bruits et les odeurs qui caractérisent leurs voitures, confrontées à celles avec lesquelles elles concourraient jadis pour la victoire sur un circuit édifié au cœur de la Principauté de Monaco, dont le tracé, identique à 80% à celui de 1929, est encore et toujours utilisé aujourd’hui dans le cadre du Championnat du Monde FIA de Formule 1…
Après un beau deuxième temps aux essais de la Série B, un problème de boîte de vitesses sur sa Lotus 16 ex-Graham Hill a contraint l’assistance technique de Max Smith Hilliard à une séance de mécanique improvisée. Loin des standards actuels, où un essaim d’ingénieurs et de mécaniciens casqués apparaissent à la moindre défaillance mécanique, ici un seul et unique technicien se charge de remettre le bolide blessé sur ses roues…