3 Questions à …
… Romain Grosjean
Que représente le Grand Prix de Monaco pour vous ?
Monaco est spécial pour moi parce que c’est en quelque sorte ma course à domicile. On est à côté de la France et chaque année de nombreux fans viennent nous soutenir. C’est bien évidemment un événement particulier en raison du glamour qui entoure Monaco . Tout le monde connaît Monaco et tout le monde a envie d’être à Monaco .
Monte-Carlo est un endroit très sympa à visiter, mais à quel point est-il difficile d’y courir ?
C’est assez compliqué de courir ici. Vous ne pouvez pas commettre la moindre faute à Monaco ou vous êtes directement dans le mur. Trouver la juste limite de la voiture se révèle relativement difficile. Vous devez constamment piloter en gardant une petite marge sauf lors de votre tour rapide en qualification. On va très vite entre les barrières, c’est un défi excitant.
Le Grand Prix de Monaco est organisé depuis 1929. Une course vous a-t-elle marqué plus qu’une autre ?
Je me rappelle très bien de l’édition 1996 quand Oliver Panis s’est imposé. C’est le dernier pilote français à avoir remporté un Grand Prix. C’était une course complètement folle. Olivier partait 14ème et il est l’un des trois seuls à avoir franchi la ligne d’arrivée. Ce sont ces genres de courses qui font qu’on aime Monaco .