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Équation à plusieurs inconnues
25 juillet 2025

Équation à plusieurs inconnues

Entre contraintes administratives et réglementaires, autant dire que définir les principaux contours du parcours n’a pas été de tout repos pour les membres du Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco. Après de longues semaines de gestation, où les nombreux aléas du terrain ont dû être déjoués, les voyants sont enfin au vert pour l’organisation de cette 94e édition. Revue de détails de la doyenne des sportives routières, manche inaugurale du Championnat du Monde des Rallyes de la FIA 2026* (WRC), qui devrait susciter l’intérêt de nombreuses équipes et concurrents.

Après les reconnaissances, programmées du dimanche 18 janvier au mardi 20 janvier, les équipages autorisés à prendre le départ retrouvent, dès le mercredi 21 janvier à partir de 14h01, une séance de mise au point modifiée (Shakedown – 4,80 km) pour se mesurer en réelles conditions de course. Il s’agit du parcours introduit en 2017, rallongé cette année, qui emprunte désormais les Routes de la Garde et de Rabou, à Gap, ville hôte de l’épreuve de 2014 à 2021, et de nouveau depuis 2024.

Le départ officiel de cette 94e édition du Rallye Automobile Monte-Carlo est prévu le lendemain, jeudi 22 janvier à 14h00, depuis la rampe podium aménagée sur le Quai Albert 1er à Monaco. Au programme de cette première étape, trois spéciales chronométrées, d’un total de 61,58 kilomètres. Organisées dans les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence, les épreuves de « Toudon / Saint-Antonin » (ES 1 – 22,90 km – 15h35), « Esclangon / Seyne-les-Alpes » (ES 2 – 23,48 km – 18h03) et « Vaumeilh / Claret » (ES 3 – 15,20 km – 19h51) peuvent d’entrée créer des surprises de taille.

Deux départements (Drôme et Hautes-Alpes) accueillent le deuxième jour de course, vendredi 23 janvier, totalisant 129,38 kilomètres contre le chronomètre. Avec une boucle de trois épreuves spéciales à disputer à deux reprises, composée de « Laborel / Chauvac-Laux-Montaux » (ES 4/7 – 17,84 km – 08h36/14h58), « Saint-Nazaire-le-Désert / La Motte-Chalancon » (ES 5/8 – 29,00 km – 10h04/16h26) et « La Bâtie-des-Fonts / Aspremont » (ES 6/9 – 17,85 km – 11h22/17h44), cette 2e étape aux très nombreuses difficultés est tout simplement la plus longue de toutes.

Et ce, contrairement au troisième jour de course, samedi 24 janvier, majoritairement bas-alpin, qui affiche un total de 78,22 kilomètres chronométrés. Cette journée est certes plus courte, mais demeure néanmoins toute aussi corsée. Au programme, l’inédite épreuve de « La Bréole / Bellaffaire » via le Col des Garcinets (ES 10/12 – 30,10 km – 08h05/12h05), à parcourir deux fois, et la reprise de « Vaumeilh / Claret » du jeudi soir en mode diurne (ES 11 – 15,20 km – 09h18). Contrairement à l’édition 2025, le retour en Principauté de Monaco s’effectue le samedi en fin d’après-midi avec, pour conclure cette 3e étape, une super-spéciale – dont le projet est à l’étude – une première depuis 2008 (ES 13 – 2,82 km – 17h45), tracée sur la partie basse du Circuit de Monaco.

Enfin, en guise de conclusion dimanche 25 janvier, deux chronos sont à disputer à deux reprises, dans l’arrière-pays, totalisant 71,62 kilomètres. Une ultime confrontation entre les secteurs chronométrés de « Col de Braus / La Cabanette » (ES 14/16 – 12,48 km – 08h00/11h10) et « La Bollène-Vésubie / Moulinet » (ES 15/17 – 23,33 km – 09h05/13h15), qui fera office de la Wolf Power Stage lors du second passage. Le podium final et la remise des prix, organisés sur le Port Hercule, sont programmés à partir de 17h00

NB : Kilométrages et horaires donnés à titre indicatif jusqu’à la publication officielle de l’itinéraire.
*Sous réserve de l’approbation du calendrier 2026 du WRC par le Conseil Mondial du Sport Automobile de la FIA.

Oliver Rowland Champion du Monde

Le « Super-vainqueur » du Monaco E-Prix en mai dernier a couronné sa superbe saison ce week-end à Berlin en décrochant son premier titre mondial. Une première pour le pilote britannique !

L’histoire retiendra son nom pour cette saison 11. Oliver Rowland est devenu ce week-end à Berlin Champion du Monde FIA de Formule E, concluant une campagne impressionnante sous les couleurs du Nissan Formula E Team.

Victorieux à 4 reprises cette saison (Mexico City, Jeddah, Monaco, Tokyo) et auteur de 7 podiums, le Britannique abordait les deux manches berlinoises avec une avance confortable de 69 points sur son dauphin au classement, Pascal Wehrlein. Il pouvait ainsi être sacré dès ce week-end, avant même les deux dernières courses programmées à Londres à la fin du mois.

Malgré un abandon en course samedi, Oliver Rowland a transformé l’essai dès ce dimanche avec une 4e place et désormais 59 points d’avance sur son premier poursuivant. Il a ainsi décroché son premier titre mondial en Formule E, récompense d’une saison exceptionnelle.

Monaco, point d’orgue de sa saison

Le passage du championnat par la Principauté en mai avait constitué l’un des tournants de la saison pour Rowland. Devant des tribunes combles, il avait dominé la première course du week-end, avant d’assurer une solide deuxième place le lendemain. Ces résultats lui avaient permis d’inscrire son nom comme premier « Super-vainqueur » du Monaco E-Prix 2025, distinction inédite mise en place cette année pour récompenser la régularité sur les deux courses du week-end.

« Monaco reste toujours un moment particulier dans la saison, et cette année encore plus avec ce nouveau trophée. Ça m’a donné un élan incroyable pour la suite », confiait-il après sa victoire en mai.

Rendez-vous en 2026 !

L’Automobile Club de Monaco félicite Oliver Rowland pour sa magnifique saison et donne d’ores et déjà rendez-vous aux passionnés pour la prochaine édition du Monaco E-Prix, en 2026, qui promet encore spectacle et émotions.

La billetterie ouvrira dans les prochains mois. Restez informés sur nos sites acm.mc & monaco-eprix.com et nos réseaux sociaux !

Objectif autonomie !
25 juillet 2025

Objectif autonomie !

E-Rallye Monte-Carlo Since 1995 (15-18 octobre 2025)

L’évolution technologique sans précédent prônée par les constructeurs, en termes d’autonomie des véhicules électriques force, par conséquent, les organisateurs de la discipline à hausser la complexité de leurs épreuves. Et c’est justement le défi que vient à nouveau de relever le Comité d’Organisation de la version 100% électrique du Rallye Monte-Carlo, 13e et avant-dernière manche de la Bridgestone FIA ecoRally Cup 2025, qui cette année célèbre le 30e anniversaire de sa création et d’innovations.

Avec un parcours de 14 Spéciales de Régularité (SR), pour un total de plus de 230 kilomètres chronométrés, autant dire que cette nouvelle mouture s’annonce encore bien plus relevée que les précédentes ! Si son caractère secret disparaît, son programme demeure néanmoins très étoffé, intense et exigeant. Le « Grand Départ » aura cette année encore le somptueux cadre de la place du Casino à Monte-Carlo, symbole d’élégance et de tradition. Le rallye se déroulera en quatre étapes condensées, réparties sur trois départements français – les Alpes de Haute-Provence, les Alpes-Maritimes et le Var – avec une incursion attendue par les massifs du Piémont et un retour par le parc du Mercantour.

Fidèle à sa réputation, le Comité d’Organisation a renforcé les défis proposés, notamment avec un terrain plus technique et sélectif. Les spéciales historiques du légendaire « Monte-Carlo » sont encore de la partie, pour le plus grand plaisir des passionnés. Mais l’innovation est aussi à l’honneur ! Ainsi plusieurs nouvelles épreuves inédites viennent enrichir le parcours, ajoutant un souffle de modernité à la compétition. Autre évolution majeure : l’autonomie des véhicules de nouvelle génération, de plus en plus performants, pourrait bien devenir l’un des facteurs déterminants de la réussite. Dans ce contexte, Constructeurs et équipages, toujours plus nombreux à relever le défi, devront conjuguer technologie, endurance et intelligence de course pour espérer marquer leur empreinte au palmarès de cette compétition légendaire…

Programme prévisionnel 2025*

  • Publication du règlement particulier & ouverture des engagements – Jeudi 14 août
  • Clôture des engagements – Lundi 15 septembre
  • Publication de la liste des participants – Lundi 6 octobre
  • Vérifications administratives et techniques – Mercredi 15 octobre de 07h00 à 13h00

Les étapes

Départ de Monaco Place du Casino à 18h30

  • SR 1 : Saint-Laurent / La Cabanette à 19h55
  • SR 2 : La Bollène-Vésubie / Moulinet à 21h15

Départ de Monaco à 08h30

  • SR 3 : Sospel / Breil-sur-Roya à 09h25
  • SR 4 : Tende / Limone 1400 à 10h40
  • SR 5 : Valdieri / Fontan à 13h00
  • SR 6 : Prato Lungo-Roviera / Isola 2000 à 13h50

Départ de Monaco à 08h30

  • SR 7 : Tanneron / Montauroux à 09h50
  • SR 8 : Bargemon / La Roque-Esclapon à 11h05
  • SR 9 : Andon / Le Mas à 13h00
  • SR 10 : Ascros / Toudon à 14h30

Départ de Monaco à 07h00

  • SR 11 : La Rochette / Entrevaux à 09h00
  • SR 12 : Le Fugeret / Thorame-Haute à 09h50
  • SR 13 : Col des Champs / Saint-Martin d’Entraunes à 12h05
  • SR 14 : Beuil / Roubion (E-Power Stage) à 13h40
  • Entrée en Parc Fermé à 16h05
  • Dîner de Clôture et de Remise des Prix à 20h30

*Parcours & Horaires donnés à titre indicatif, sous réserve de la publication officielle du règlement

Quand Atmos riment avec… Turbos !

Les Formule 1 à moteur turbo pourront participer au 15e Grand Prix de Monaco Historique, en avril 2026. L’évolution des règlements de la FIA va en effet permettre au Comité d’Organisation et de Sélection de l’Automobile Club de Monaco (ACM) de leur réserver une classe spécifique, comme cela était initialement prévu en 2022, lors de l’instauration de la Série G réservée aux monoplaces de F1 ayant couru le Grand Prix de Monaco entre 1981 et 1985.

Les vedettes, en revanche, et pour le plus grand plaisir des nostalgiques de l’âge d’or de la F1, devraient rester les monoplaces à moteur 3 litres. Généralement dotées de V8 Ford Cosworth DFV, dont l’avènement à partir de 1966 a changé fondamentalement l’image et la notoriété de la F1. C’est ainsi qu’un plateau attendu de 80 à 100 voitures dans les Séries D à G, toutes généralement dans un état de conservation parfaite, capables de rouler plus vite qu’il y a cinquante ans dans les rues de Monaco, dans des conditions d’adhérence bien meilleures et en toute sécurité.

Soucieux de préserver l’identité du Grand Prix, les organisateurs ont décidé de conserver la Série A1, réservée exclusivement aux voitures d’avant-guerre, en considérant que les Bugatti (35, 37 et 51) et les Maserati constituent l’ADN de ce Grand Prix de Monaco.

Pour le reste, la série A2 (après-guerre, moteur avant) et la série C (voitures de Sport), sont reconduites sans changement, tout comme les cinq autres plateaux de F1 qui permettent de présenter l’évolution des Grands Prix sur près de 40 ans (de 1946 à 1985). Plusieurs hommages et anniversaires sont déjà prévus, dans le cadre authentique et majestueux du circuit de la Principauté, et plusieurs belles pages de l’Histoire de la course automobile seront tournées, odeurs vibrations et bruits compris, durant cette 15e édition du Grand Prix de Monaco Historique. Flash-back sur les anniversaires à fêter :

Il y a 100 ans (1926), Maserati débutait en course. Au-delà de leur potentielle présence en Série A1 (les modèles éligibles vont des type 26, 26B, 26C, 26M aux 4CL en passant par les 8C, 4CM, V8RI, 8CM, 6C-34, 6CM et 8CTF), les belles et rebelles italiennes concernées en Série A2 sont, outre les 250F (Victorieuses avec Stirling Moss il y a 70 ans (1956) et avec Juan-Manuel Fangio en 1957), les 4CL, 4CLT/48, A6GCM et A6GCM. Dans la Série C, l’ACM espère toujours compter sur la participation de 150S, 250S et 300S.

Il y a 80 ans (1946), sortait la première Gordini imaginée par Amédée, le grand sorcier français d’origine italienne, et il y a 70 ans (1956), c’était la dernière apparition, au Grand Prix d’Italie à Monza, d’une voiture de la marque en championnat. Il faudra attendre Matra, en 1967 à Monaco, pour revoir une voiture bleue en F1.

Il y a 60 ans (1966), la nouvelle règlementation sur les moteurs de F1 (3 litres de cylindrée) entrait en vigueur et permettait à McLaren de débuter en Grand Prix. Avec au volant le fondateur de la marque, Bruce McLaren, vainqueur en 1962 dans une Cooper-Climax régulièrement engagée dans le Grand Prix de Monaco Historique. Six décennies plus tard, l’écurie anglaise, désormais dirigée par Zak Brown, est aux avant-postes de la F1 moderne (Champion du Monde des Constructeurs 2024, une première depuis la fin des années 90). Le palmarès de McLaren à Monaco se passe de tout commentaire : 58 participations, pour 15 victoires, 11 pole positions et 28 podiums ! La dernière victoire de la marque anglaise en Principauté remonte déjà à 2008, grâce à un certain Lewis Hamilton.

Il y a également 60 ans (1966), Guy Ligier débutait dans la discipline reine avec une Cooper… dotée d’un moteur V12 Maserati ! 10 ans plus tard, Il y a 50 ans (1976), Ligier débarquait en F1 comme Constructeur, au GP du Brésil, avec une JS5 à moteur Matra, pilotée par Jacques Laffite, qui est ensuite devenue une JS7 en 1977. Le premier fait de gloire de cette voiture a été une pole position en Italie, sur le circuit de Monza, grâce à la puissance monstrueuse de son moteur V12 français. Cette même année, le jeune Alain Prost, futur quadruple Champion du Monde de F1, a débuté en monoplace (et remporté le Championnat de France de Formule Renault), suite à sa victoire dans le Volant Elf, sur le Circuit Paul Ricard.

Il y a 30 ans (1996), Ligier a remporté, grâce à Olivier Panis, son unique victoire dans un Grand Prix de Monaco, la seule d’une voiture française après-guerre. Ce sera surtout l’ultime succès de Ligier en F1 (9 en tout) avant la revente de l’écurie française à Flavio Briatore, qui l’a ensuite transmise à Alain Prost.

 

Programme prévisionnel

 

Huit Séries – Réservées aux voitures ayant participé à des Courses Internationales et conformes aux règlements en vigueur à la période concernée

SÉRIE A1 – LOUIS CHIRON – Voitures de Grand Prix d’avant-guerre et Voiturettes

Classe 1 :  Voitures de Grand Prix (supérieur à 1500cm3)

Classe 2 :  Voiturettes (inférieur à 1500cm3)

 

SÉRIE A2 – JUAN MANUEL FANGIO – Voitures de Grand Prix à moteur avant, construites avant 1961

Classe 1 : Voitures construites entre le 1er Janvier 1946 et le 31 Décembre 1953, équipées d’un moteur à compresseur de 1500 cm3 maximum ou d’un moteur sans compresseur de 4500 cm3 maximum

Classe 2 :  Voitures de F2 construites avant le 31 Décembre 1953 dont la cylindrée n’excède pas 2000 cm3 sans compresseur

Classe 3 : Voitures de F1 construites entre le 1er Janvier 1954 et le 31 Décembre 1960 dont la cylindrée n’excède pas 2500 cm3 sans compresseur ou 750 cm3 avec compresseur

Classe 4 :   Voitures hors classes 1-2-3 mais ayant un rapport historique avec celles engagées dans le Championnat du Monde F1 entre 1950 et 1960

 

SÉRIE B – GRAHAM HILL – Voitures de Grand Prix à moteur arrière, 1500, F1 de 1961 à 1965 et F2 de 1956 à 1960

Classe 1 :  F2 construites entre le 1er Janvier 1956 et le 31 Décembre 1960

Classe 2 : Voitures équipées d’un moteur de 4 ou 6 cylindres

Classe 3 : Voitures équipées d’un moteur de 8 ou 12 cylindres

 

SÉRIE C – VITTORIO MARZOTTO – Voitures de Sport à moteur avant de 1952 à 1957

Classe 1 : Voitures dotées d’un moteur de moins de 2L

Classe 2 : Voitures dotées d’un moteur de plus de 2L et équipées de freins à tambour

Classe 3 : Voitures dotées d’un moteur de plus de 2L et équipées de freins à disques

 

SÉRIE D – JACKIE STEWART – Voitures de Grand Prix F1–3L de 1966 à 1972

Classe 1 : Voitures construites ou ayant participé à des GP de F1 entre le 1er Janvier 1966 et le 31 Décembre 1969

Classe 2 :  Voitures construites entre le 1er Janvier 1970 et le 31 Décembre 1972 équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV

Classe 3 : Voitures construites entre le 1er Janvier 1970 et le 31 Décembre 1972 équipées d’un autre moteur

 

SÉRIE E – NIKI LAUDA – Voitures de Grand Prix F1–3L de 1973 à 1976

Classe 1 : Voitures équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV

Classe 2 : Voitures équipées d’un autre moteur

 

SÉRIE F – GILLES VILLENEUVE – Voitures de Grand Prix F1–3L de 1977 à 1980

Classe 1 :  Voitures conçues sans effet de sol

Classe 2 :  Voitures conçues avec effet de sol et équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV

Classe 3 :  Voitures conçues avec effet de sol et équipées d’un autre moteur

 

SÉRIE G – AYRTON SENNA – Voitures de Grand Prix F1 de 1981 à 1985

Classe 1 : Voitures équipées d’un moteur atmosphérique

Classe 2 : Voitures équipées d’un moteur Turbo

 

Monaco, le 11 avril 2025

Une nouvelle ère commence
25 juillet 2025

Une nouvelle ère commence

La 28e édition du Rallye Monte-Carlo Historique s’annonce comme un tournant majeur dans l’histoire de l’épreuve. Plus qu’une simple compétition de régularité, ce nouveau millésime introduit des évolutions significatives, tout en conservant l’esprit authentique et populaire qui a fait sa renommée. Dates repensées, sélection élargie de véhicules, six villes de départ, routes fermées : le Rallye Monte-Carlo Historique entre résolument dans une nouvelle ère.

Dates inédites & villes de départ prestigieuses

L’épreuve se déroulera du samedi 31 janvier au samedi 7 février 2026, rompant avec le traditionnel format du mercredi au mercredi. Les concurrents pourront s’élancer depuis l’une des six villes de départ sélectionnées à travers l’Europe :

  • Jeudi 29 janvier : John O’Groats
  • Dimanche 1er février : Bad Hombourg, Barcelone, Milan, Monte-Carlo et Reims

Une sélection de véhicules élargies

Sont éligibles désormais les voitures ayant participé à un Rallye Monte-Carlo entre ses origines et janvier 1986.

Découvrez la liste des modèles concernés

Des nouveautés marquantes également pour les concurrents :

  • Toutes les Spéciales de Régularité se dérouleront sur routes fermées à la circulation* ;
  • Deux moyennes distinctes seront proposées, avec un classement propre à chacune ;
  • Le port du casque homologué C.E. sera obligatoire sur les sections fermées ;
  • La Soirée de Gala sera incluse dans les frais d’engagement ;
  • Droits d’engagement : 6 800 €

Calendrier à retenir

La publication du pré-règlement officiel et l’ouverture des inscriptions sont prévues pour le mercredi 3 septembre 2025.

Le parcours détaillé de cette édition 2026 sera communiqué dans les prochaines semaines. Restez connectés !

Monaco, le 10 juin 2025

*sous réserve des autorisations administratives

Monaco a relancé le championnat !
25 juillet 2025

Monaco a relancé le championnat !

Le Formula 1 TAG Heuer Grand Prix de Monaco 2025, remporté dimanche par Lando Norris (McLaren), a totalement relancé le Championnat du Monde, en plus de susciter un énorme enthousiasme populaire autour des pilotes et notamment le héros local Charles Leclerc (2e).

“Nous n’étions pas très optimistes à cause des difficultés de notre voiture dans les virages lents, cette saison”, a rappelé Leclerc en conférence de presse, “donc prendre la 2e place c’est quand même un bon résultat. Même si je ne pourrai jamais être satisfait d’une 2e place”, a ajouté le pilote Ferrari, très sollicité toute la semaine. Bilan positif également pour son coéquipier, Lewis Hamilton (5e), qui connaît parfaitement le tracé monégasque : “C’est la meilleure voiture que j’ai jamais eue ici à Monaco”.

“A Monaco, on sait que le classement final est souvent le même que celui des qualifications, alors me retrouver ici c’est bien car j’ai eu un début de week-end très compliqué. Je ne me sentais pas à l’aise dans la voiture, j’avais du mal à trouver le bon équilibre”, a expliqué Oscar Piastri, toujours leader du Championnat du Monde sans avoir jamais pu se mêler à la bagarre pour la pole position, samedi, ou la victoire, dimanche.

Trois points d’écart entre Piastri et Norris

La principale conséquence de ce week-end monégasque, 8e manche du championnat 2025, c’est que la course au titre est totalement relancée, à plusieurs niveaux. Non seulement Norris est revenu à trois points de son coéquipier australien, qui a gagné deux fois plus souvent que lui en 2025 (4 victoires à 2), mais l’essentiel est ailleurs. Le jeune Anglais a montré deux fois en 24 heures qu’il était plus costaud que certains le pensaient ou le disaient.

Norris a sorti un chrono formidable au meilleur moment, à la fin de la Q3, pour battre le record de la piste qui tenait depuis 2019 (Lewis Hamilton – Mercedes). Il a enchaîné par un départ parfait, dimanche à 15h00, puis une belle résistance en fin de course alors qu’il était ralenti par Max Verstappen (Red Bull) et que ses gommes Pirelli se dégradaient à vue d’œil.

“J’ai bien vu que Max attendait un drapeau rouge pour gagner et qu’il allait attendre le dernier moment pour changer une deuxième fois de pneus. Je ne pouvais pas rester trop près de lui, donc j’étais sous la menace de Charles. Cela s’est bien passé et c’est une double satisfaction pour moi : avoir signé la pole position samedi et avoir réussi à remporter dimanche ce Grand Prix que je rêvais de gagner quand j’étais petit”, a confié le britannique sur sa 6e victoire en F1, la deuxième de 2025.

Ferrari revient sur Mercedes

L’autre relance du championnat, elle intervient au niveau du Championnat du Monde des Constructeurs, car la Scuderia Ferrari a repris dimanche 28 points à Mercedes, qui a complètement raté son étape monégasque. Et comme Verstappen, si fort soit-il, est le seul pilote à marquer pour Red Bull Racing, chaque week-end, tout reste possible dans la course au titre mondial des écuries, loin derrière McLaren, six victoires en huit courses.

Enfin, dans le combat symbolique pour le titre de meilleur « rookie » (débutant), Isack Hadjar (Racing Bulls) a repris des points au prodige italien Kimi Antonelli. Cinquième sur la grille, grâce à la pénalité d’Hamilton, le jeune Français a pris la 6e place des « autres », à un tour des top teams, et n’a pas fait la moindre erreur, sur cette piste si exigeante qui ne pardonne rien à personne. C’est très encourageant, comme la plupart de tout ce qu’il fait depuis le début de cette saison.

Un mot sur la MGP Fan Zone, pour finir. Elle était pleine à craquer, chaque jour, et des milliers de fans ont vibré, gratuitement, aux exploits des pilotes sur l’écran géant de la Place d’Armes. Pendant ce temps, dans le paddock, de nombreux VIPs ont aussi apprécié leur week-end monégasque, comme Naomi Campbell, Zinédine Zidane, Kylian Mbappé, Antoine Dupont ou encore les hommes d’affaires Bernard Arnault (LVMH) et Jeff Bezos (Amazon). C’était un week-end de sport et de fête illuminé de bout en bout par un soleil radieux.

Il y en aura d’autres, car le contrat du Formula 1 TAG Heuer Grand Prix de Monaco, encore une fois parfaitement organisé par l’Automobile Club de Monaco (ACM), dans les coulisses, et superbement géré par ses commissaires bénévoles, sur la piste, a été renouvelé pour plusieurs années.

Rendez-vous du 4 au 7 juin 2026 pour une 83e édition du plus mythique des Grands Prix. Restez connectés pour connaîre les informations concernant l’ouverture de la Billetterie.

F1: Norris en costaud, Leclerc en vain

Il n’a pas craqué, il a résisté jusqu’au bout à Charles Leclerc ! Lando Norris, parti en pole position, a remporté dimanche le Formula 1 TAG Heuer Grand Prix de Monaco, apportant sur un plateau à McLaren sa première victoire depuis 2008 dans les rues de la Principauté, la 16e au total depuis Alain Prost en 1984.

Charles Leclerc (Ferrari) a tout tenté, jusqu’au bout, pour déjouer les pronostics mais Norris ne lui a jamais donné le moindre espoir, ou la moindre ouverture, et le podium a été complété par un autre pilote McLaren, Oscar Piastri, qui reste en tête du Championnat du Monde.

“C’est un rêve d’enfant que je réalise”, a dit Norris en descendant de sa monoplace orange, avant de monter dans la loge princière pour recevoir une médaille d’or de la part de SAS la Princesse Charlène de Monaco, et le très beau trophée qui voyagera dans une malle haut de gamme designé par LVMH.

Norris pouvait être fier de sa 6e victoire en F1, la deuxième cette saison après Melbourne, lui qui avait très mal vécu les quatre victoires de Piastri en 2025, dont trois d’affilée (Bahreïn, Arabie Saoudite, Miami). Il reprend dix points d’un seul coup à son coéquipier australien et relance totalement le championnat, car il n’y a plus que trois points d’écart entre les deux pilotes McLaren (Piastri 161, Norris 158).

Les fans de Leclerc y ont cru jusqu’au bout, car la Ferrari, en pneus Pirelli medium, a terminé sur les talons de la McLaren, en pneus durs, ralentie jusqu’à deux tours de la fin par Max Verstappen (Red Bull). Le quadruple champion du monde néerlandais, parti 4e, est arrivé 4e en ayant adopté une stratégie différente, basée sur des arrêts les plus tardifs possibles pour changer de pneus et l’espoir d’un drapeau rouge venant interrompre les débats.

Hadjar, 6e pour Racing Bulls

Il n’y en a pas eu, notamment parce que le reste du peloton a longtemps roulé au ralenti derrière Carlos Sainz (Williams), et parce que les Racing Bulls d’Isack Hadjar, qui avait effectué très tôt ses deux arrêts obligatoires, et de Liam Lawson, très constant de bout en bout, n’ont jamais pu en profiter lors d’une sortie de la voiture de sécurité. C’était un pari sur les incidents de course, comme pour Verstappen, mais il n’a pas réussi.

Ce pari a le mérite d’avoir été tenté, et d’avoir entretenu un semblant de suspense, alors que Mercedes n’a rien tenté du tout. George Russell et Kimi Antonelli avaient raté leurs qualifications, ils ont aussi raté leur course, terminée aux 11e et 18e rangs, hors des points. Alors que son ancien leader, Lewis Hamilton, a pris la 5e place au terme d’un nouveau sans-faute, lui qui était parti 7e à cause d’une pénalité pour avoir gêné Verstappen en qualifications, bien malgré lui.

On retiendra de cette 82e édition qu’elle était intense du vendredi au dimanche, et que les deux arrêts obligatoires n’ont absolument rien changé à l’affaire. Ils auraient pu être utiles, pour épicer le show, si la Voiture de Sécurité était sortie des stands. Elle est restée tranquillement garée dans la pitlane, après avoir été très sollicitée toute la matinée, notamment aprè les carambolages des courses de F2 et de Porsche Mobil 1 Supercup. Et tout le monde se retrouvera dès la semaine prochaine à Barcelone, pour la 9e manche de cette saison 2025.

Charles Leclerc récompense un Commissaire de l’ACM

En marge du Formula 1 TAG Heuer Grand Prix de Monaco, le pilote de la Scuderia Ferrari a remis un trophée au bénévole de l’année, remis à Jean-Luc Filippi. Ce Commissaire a été félicité pour l’ensemble de son action au sein de l’Automobile Club de Monaco (ACM). 

On le surnomme le Doc, mais aussi le Professeur Tournesol. Depuis plusieurs décennies, Jean-Luc Filippi œuvre sur les différentes épreuves de l’ACM, tantôt sur la route des Rallyes Monte-Carlo, tantôt en bord de piste. Mais pas que. Il est notamment l’inventeur de la Crash Training Car (CTC), une monoplace de haute technologie programmée pour entraîner les Commissaires lors du traditionnel stage d’entraînement avec l’aide de l’Intelligence Artificielle.

Ce bénévole, très apprécié de ses pairs, a été nommé bénévole de l’année et s’est vu remettre un trophée designé par le créateur d’Antoine le Pilote, Yvon Amiel. Et qui d’autre que le héros local, Charles Leclerc, pour lui transmettre cette figurine ?

La petite cérémonie s’est déroulée en présence du pilote monégasque et de Jean-Luc Filippi, juste avant la parade des pilotes, à 13h. Un moment chaleureux, qui restera dans la mémoire du Doc, qui réfléchit certainement déjà à sa prochaine invention pour venir en aide à l’Automobile Club de Monaco.

Photo © Steve Domenjoz/F1

Porsche : de Haan vainqueur, Ghiretti sur le podium

Comme plus tôt dans la matinée en F2, les pilotes de la Porsche Mobil 1 Supercup, la seule et unique catégorie monotype du week-end, ont vu leur course interrompue quelques secondes après le départ. Un carambolage impressionnant, provoqué par l’accrochage entre Marvin Klein (Lechner Racing) et Keagan Masters (Ombra Racing), juste après le virage de Sainte Dévote, a nécessité l’intervention des commissaires et des techniciens du circuit.

Cette troisième course de la journée, la dernière de la matinée avant le Formula 1 TAG Heuer Grand Prix de Monaco, prévu à 15h00, aurait dû durer 17 tours. Il n’en a rien été puisqu’à la suite d’une neutralisation d’une vingtaine de minutes, les concurrents ont vu leur deuxième manche de la saison écourtée.

La faute à un nouveau carambolage, comme lors de la course principale de F2, provoqué par l’accident entre Marvin Klein et Keagan Masters, juste après le virage de Sainte Dévote. Dans leur accident, les deux pilotes ont entraîné deux autres victimes collatérales : les Néerlandais Wouter Boerekamps (GP Elite) et Jaap van Lagen (Proton Huber Competition).

Après une interruption de près d’une demi-heure, permettant aux commissaires de piste de faire leur travail rapidement et aux techniciens de l’entreprise monégasque Polymétal de réparer le rail endommagé par le choc, les bolides de la marque allemande ont repris la piste derrière la voiture de sécurité, pour un départ lancé.

Il ne leur restait que 3 tours de course, avant que le drapeau à damier ne soit abaissé, pour permettre à la parade des pilotes de F1 de ne pas prendre le moindre retard. Logiquement, le Néerlandais Robert de Haan (BWT Lechner Racing), parti en pole position, s’est imposé devant l’Allemand Theo Oeverhaus (Proton Huber Competition) et le jeune Français Alessandro Ghiretti (Schumacher CLRT), tous rescapés du chaos du 1er tour. “Une victoire est une victoire”, a dit le vainqueur, très heureux, sur sa radio de bord.

F2 : Crawford, le hold-up parfait …

Jak Crawford a réalisé le hold-up parfait, dimanche, à la fin de la Course Principale du Championnat FIA de Formule 2, grâce à un coup stratégique de son équipe française, DAMS Lucas Oil. Et le Britannique a battu le champion en titre de Formule 3, l’Italien Leonardo Fornaroli (Invicta Racing), principal bénéficiaire du carambolage du premier virage, à Sainte Dévote, provoqué par le leader du championnat, l’Irlandais Alexander Dunne (Rodin Motorsport).

Le podium a été complété par le fils de Juan Pablo Montoya, prénommé Sebastian (Prema Racing), sous les yeux de son papa, ex-vainqueur en F1 chez Williams et McLaren (94 GPs disputés, 7 victoires, 13 pole positions, 12 meilleurs tours). Le gamin a de qui tenir et il est surtout sorti indemne du carambolage du 1er tour, provoqué par une attaque inconsidérée de Dunne sur le Français Victor Martins (ART GP), qui était mieux parti que lui depuis la première ligne.

L’Irlandais ne l’a pas supporté et a harponné le Français, provoquant un carambolage XXL et surtout une interruption de 45 minutes avant que la course puisse reprendre, vers 10h30, derrière la voiture de sécurité, pour 30 minutes seulement au lieu d’une heure, la durée prévue à l’origine. Fornaroli, reparti en tête, pensait bien avoir course gagnée jusqu’à un dernier incident lourd de conséquences. Le Suédois Dino Beganovic (HiTech) a tiré tout droit dans le rail de sécurité, au Casino, et la voiture de sécurité est encore sortie, provoquant une ruée dans les stands. Et Crawford, qui s’était déjà arrêté plus tôt, a profité de l’aubaine pour rafler une victoire inespérée, devant Fornaroli et Montoya.

Au classement du championnat, Crawford opère une jolie remontée, jusqu’à la 5e place très provisoire, même si la moitié des points seulement ont été distribués car la course n’a duré qu’une demi-heure, au lieu d’une heure. De quoi consoler un peu Martins, qui n’a jamais eu de chance en Principauté. Le leader est désormais un autre pilote britannique, Luke Browning (70 points), devant Dunne (65) et Fornaroli (64).

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