L’Automobile Club de Monaco a le plaisir d’annoncer une nouvelle extension de l’accord liant la Principauté et la Formula 1, qui assure désormais la tenue du Grand Prix de Monaco jusqu’en 2035 inclus.
À l’occasion du Grand Prix d’Italie à Monza, le vendredi 5 septembre 2025, Stefano Domenicali, Président et Directeur Général de la Formule 1, et Me Michel Boeri, Président de l’Automobile Club de Monaco, ont signé et officialisé le nouvel accord prolongeant la collaboration historique entre la Principauté et la discipline reine du sport automobile. Cette extension fait suite à la précédente prolongation conclue en 2024, qui assurait la tenue du Grand Prix de Monaco jusqu’en 2031. Désormais, l’accord s’étend jusqu’en 2035, consolidant encore davantage le partenariat historique entre la Principauté et la Formula 1.
🚨 Officiel / Official
2̶0̶3̶1̶ ➝ 2035
Le Formula 1 Grand Prix de Monaco est prolongé de 4️⃣ saisons supplémentaires 🔒
👉 L’épreuve restera donc au calendrier du championnat du monde de Formule 1 jusqu’en 2035 ! 🤩—
The Formula 1 Grand Prix de Monaco has been extended for… pic.twitter.com/TuVLr0rFjK
— Automobile Club de Monaco (@ACM_Media) September 5, 2025
Une épreuve légendaire
Créé en 1929, le Grand Prix de Monaco est l’une des plus anciennes et prestigieuses courses automobiles au monde. Bien avant la création du Championnat du Monde de Formule 1 en 1950, les rues de la Principauté accueillaient déjà les plus grands pilotes de leur époque, façonnant une légende unique qui, depuis près d’un siècle, continue de traverser les générations.
Le circuit urbain de 3,337 km exige depuis près d’un siècle une précision et une concentration extrêmes. Ses virages mythiques ont vu s’illustrer les plus grands champions : Ayrton Senna, Michael Schumacher, Alain Prost, Niki Lauda, Lewis Hamilton, Max Verstappen… et également des pilotes monégasques : Louis Chiron en 1931 et Charles Leclerc en 2024. Plus récemment, Lando Norris a ajouté son nom à ce palmarès prestigieux en 2025.
Un partenariat consolidé
Chaque année, l’Automobile Club de Monaco, épaulé par les institutions monégasques et plusieurs centaines de bénévoles, œuvre pour garantir le succès et la sécurité de cet événement hors norme. Cette nouvelle extension du contrat témoigne de la solidité et de la confiance d’un partenariat historique, qui fait rayonner la Principauté dans le monde entier.
Son Altesse Sérénissime, le Prince Albert II de Monaco :
« La reconduction du Grand Prix de Monaco jusqu’en 2035 s’inscrit dans la continuité d’une tradition sportive et historique à laquelle la Principauté demeure profondément attachée. Je ne peux que saluer cet engagement renouvelé, qui témoigne d’une réussite collective, de l’excellence de notre collaboration avec la Formule 1 et de la place singulière qu’occupe Monaco dans le paysage du sport automobile international. »
Me Michel Boeri, Président de l’Automobile Club de Monaco :
« Je tiens à exprimer toute ma gratitude à S.A.S. le Prince Albert II de Monaco pour son soutien constant, ainsi qu’à Stefano Domenicali pour sa confiance renouvelée. L’Automobile Club de Monaco se réjouit de cette prolongation de quatre années supplémentaires, qui porte notre engagement jusqu’en 2035. Cet accord réaffirme notre volonté de continuer à offrir un week-end de course exceptionnel, unique au monde, et de maintenir le Grand Prix de Monaco comme un rendez-vous incontournable du calendrier international. »
Stefano Domenicali, Président et Directeur Général de Formula 1 :
« Les rues de Monaco résonnent au son de la Formule 1 depuis les premiers jours de la discipline, et je suis ravi d’annoncer la prolongation de cet événement jusqu’en 2035. C’est une course iconique, adorée des pilotes et des fans, avec une atmosphère unique grâce à son cadre dans la Principauté la plus glamour du monde. Je remercie tout particulièrement S.A.S. le Prince Albert II de Monaco, Michel Boeri et l’ensemble des équipes impliquées pour avoir assuré la pérennité de ce partenariat historique. »
La billetterie ouvre prochainement
L’ouverture de la billetterie pour le Formula 1 Grand Prix de Monaco 2026 (04-07 juin) approche !
Ne manquez pas l’occasion de vivre la prochaine édition, qui sera la manche d’ouverture de la saison européenne du Championnat du monde de Formule 1.
Les inscriptions pour la 28ᵉ édition du Rallye Monte-Carlo Historique sont désormais ouvertes et se poursuivront jusqu’au 3 novembre 2025. Ce rendez-vous incontournable réunira une fois encore passionnés et équipages pour un parcours exigeant et spectaculaire, comme le veut la tradition de l’épreuve.
Les grandes lignes du millésime 2026
Cette édition se déroulera du 29 janvier au 7 février 2026 et marquera un véritable tournant. Les départs seront donnés depuis six villes européennes emblématiques : John O’Groats (Ecosse) ouvrira le bal le jeudi 29 janvier, tandis que le dimanche 1er février, les concurrents s’élanceront depuis Bad Hombourg (Allemagne), Barcelone (Espagne), Turin (Italie), Monte-Carlo et enfin Reims (France).
Le parcours a été entièrement repensé et proposera plusieurs spéciales de régularité disputées sur routes fermées, garantissant davantage de sécurité et d’authenticité. La liste des véhicules éligibles s’élargit également, puisqu’elle inclut désormais tous les modèles ayant pris part aux éditions du Rallye Monte-Carlo entre 1911 et 1986.
Trois moyennes distinctes seront proposées avec un classement spécifique pour chacune, offrant ainsi un challenge adapté à tous les profils d’équipages. Le port du casque homologué C.E. sera obligatoire sur les sections fermées, et les frais d’inscription incluront désormais la traditionnelle soirée de Gala, véritable moment de partage et de convivialité.
Une nouvelle plateforme d’inscription
Pour accompagner ces évolutions, l’Automobile Club de Monaco met en place une nouvelle plateforme d’inscription en ligne. Afin de faciliter la procédure, un tutoriel vidéo est disponible ci-dessous pour guider pas à pas chaque concurrent dans la constitution de son dossier. Nous vous invitons à le visionner attentivement avant de valider votre inscription.
Les inscriptions ne seront acceptées que via cette nouvelle interface et devront impérativement être finalisées avant le lundi 3 novembre 2025 (dossier complet avec paiement).
Le 15e Grand Prix de Monaco Historique, qui se tiendra du 24 au 26 avril 2026, lève le voile sur son affiche officielle. À désormais huit mois de cette prochaine édition, l’événement rend hommage sur son poster à l’un des plus grands noms de la Formule 1 : Niki Lauda, 50 ans après ses deux victoires consécutives au Grand Prix de Monaco, en 1975 et 1976.
Pour célébrer cet anniversaire symbolique, le comité d’organisation de l’Automobile Club de Monaco a souhaité mettre en lumière cette période marquante de l’histoire de son épreuve phare, en revisitant l’affiche originale de 1976. Le graphisme reprend les codes visuels emblématiques de l’époque, tout en y intégrant la Ferrari 312 T victorieuse et le décor mythique de la Principauté dans son écrin moderne. Un clin d’œil appuyé à l’histoire et aux légendes du sport automobile, que le Grand Prix de Monaco Historique fait revivre chaque année en réunissant les plus belles monoplaces d’antan pour un spectacle unique.
Cette volonté de rendre hommage se traduira également en piste, puisque la série D – Niki Lauda, qui porte son nom, regroupera les monoplaces de Grand Prix F1 – 3 litres ayant couru entre 1973 et 1976. Elle sera notamment composée de deux classes : les voitures équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV (Classe 1) et celles propulsées par un autre moteur (Classe 2).
Prenez date ! La billetterie ouvrira prochainement. Restez connectés !
Retrouvez les affiches des précédentes éditions.
Au printemps 2026, la Principauté vibrera de nouveau au rythme du sport automobile avec l’organisation de trois épreuves internationales majeures.
Dates d’ouverture des billetteries
𝙂𝙀𝙏 𝙍𝙀𝘼𝘿𝙔𝙔𝙔 🤩🚨
The announcement you’ve all been waiting for is finally here!
🎟️ Tickets for the 𝗙𝗼𝗿𝗺𝘂𝗹𝗮 𝟭 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗱𝗲 𝗠𝗼𝗻𝗮𝗰𝗼 𝟮𝟬𝟮𝟲 and the 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗱𝗲 𝗠𝗼𝗻𝗮𝗰𝗼 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟲 go on sale 𝙣𝙚𝙭𝙩… pic.twitter.com/F2EtwFOQOG
— Automobile Club de Monaco (@ACM_Media) August 7, 2025
Comment réserver ?
Les billets seront disponibles :
Il est vivement recommandé de réserver dès l’ouverture des ventes, la demande étant particulièrement forte chaque année pour ces événements.
Pour plus d’informations, nos équipes se tiennent à votre disposition : [email protected]
Les dates d’ouverture de la billetterie pour le Monaco E-Prix 2026 ne sont pas encore confirmées et seront communiquées dans les prochaines semaines.
Comme le veut la tradition, le Rallye Monte-Carlo Historique rend hommage à l’histoire et aux légendes qui ont marqué la discipline. L’affiche officielle de cette édition 2026 s’inspire directement de celle du Rallye Monte-Carlo 1976, revisitant son graphisme pour célébrer le 50ᵉ anniversaire d’un exploit devenu légendaire : la victoire de Michèle Mouton et Françoise Conconi dans la Coupe des Dames, remportée cette année-là avec une Alpine-Renault A110 1600 SC.
Déjà considérée comme une figure montante du sport automobile, Michèle Mouton avait impressionné en janvier 1976 par son talent, sa détermination et son sang-froid sur des routes rendues piégeuses par les conditions hivernales. Associée à sa copilote Françoise Conconi, elle impose son style dès les premières spéciales et surclasse ses concurrentes pour s’adjuger la prestigieuse Coupe des Dames, une performance saluée dans le milieu. Cette victoire au Monte-Carlo a marqué un tournant dans sa carrière : elle a ensuite poursuivi sa progression vers le sommet, devenant quelques années plus tard la première et unique femme à remporter une manche du Championnat du Monde des Rallyes (San Remo 1981) et à se battre pour le titre mondial.
Aujourd’hui Membre d’honneur de l’Automobile Club de Monaco, Michèle Mouton demeure une icône et une source d’inspiration pour toutes les générations de passionnés. L’affiche 2026 est un clin d’œil vibrant à cette championne d’exception et à l’héritage qu’elle continue de transmettre, 50 ans après ce premier exploit sur les routes du Rallye Monte-Carlo.
Cette 28e édition du Rallye Monte-Carlo Historique marque un tournant majeur dans l’histoire de l’épreuve Monégasque. Plus qu’une simple compétition de régularité, ce nouveau millésime introduit des évolutions souhaitées par les concurrents et approuvées par le Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco, tout en préservant l’esprit authentique et populaire qui a fait sa renommée. Dates repensées, sélection élargie de véhicules (modèles ayant couru entre 1911 et 1986), six villes de départ et surtout, des spéciales de régularité disputées sur routes fermées. Décryptage d’un parcours « new-look » d’un Rallye Monte-Carlo Historique qui résolument entre dans une nouvelle ère !
Pour la poignée d’irréductibles qui ont coché John O’Groats comme ville de départ, village du nord des Highlands en Écosse et point septentrional du parcours de concentration, le coup d’envoi de cette édition 2026 est planifié le jeudi 29 janvier. Les autres départs s’échelonnent dès le dimanche 1er février depuis Bad Homburg, Barcelone, Monte-Carlo, Reims et Turin. Avec pour destination commune, Valence, préfecture du département de la Drôme et traditionnelle ville étape, où les premiers concurrents sont attendus Esplanade du Champ de Mars le lundi 2 février à partir de 12h30…
Les premières spéciales sont programmées dès le lendemain, mardi 3 février, avec d’entrée une copieuse 1ere partie de l’Etape de Classement, composée d’une boucle de trois spéciales à parcourir à deux reprises. Ainsi s’enchaînent « Col Gaudissart – Bouvante / SR 1-4 / 8 km / 08h33 – 14h43 » avec le Col de l’Écharasson (1146 m) comme juge de paix, puis « Léoncel – Oriol-en-Royans/ SR 2-5 / 12 km / 09h41 – 15h51 » et « Col de Tourniol – Barbières / SR 3-6 / 11 km / 10h20 – 16h30 ». Retour des premiers concurrents au Champ de Mars de Valence en mi-journée (11h25) et en fin d’après-midi (17h35).
Direction l’Ardèche le mercredi 4 février à 08h00 pour la 2e partie de l’Etape de Classement. Avec pour débuter, l’enchaînement des inédites « Saint-Pierreville – Issamoulenc / SR 7 / 11 km / 09h28 » et « Lachamp-Raphaël – Burzet / SR 8 / 15 km / 11h05 ». Deux premières épreuves suivies par un regroupement à Vals-les-Bains (12h10), puis par un contrôle de passage à la Remise (13h53) de la famille Jouanny à Antraigues-sur-Volane, devenue au fil des décennies un haut-lieu du Rallye Monte-Carlo. S’en suivra « Saint-Andéol-de-Vals – Gourdon / SR 9 / 12 km / 14h31 » puis la reprise pour un second passage de « Saint-Pierreville – Issamoulenc / SR 10 / 11 km / 15h26 ». Privas accueille en fin de journée les concurrents pour un contrôle horaire à partir de 16h34 avant le retour sur Valence programmé à 17h40.
Direction les massifs du Vercors et du Diois le jeudi 5 février à 08h00, pour la 1ere partie de l’Etape Commune. Avec trois spéciales au programme, « Les Nonnières – Chichilianne / SR 11 / 15 km / 09h53 » avec l’ascension du Col de Menée (1457 m) pour débuter, puis « Le Château – La Bâtie-des-Fonts / SR 12 / 10 km / 11h38 » et son fameux Col de Carabès (1261 m), frontière naturelle entre les départements des Hautes-Alpes et de la Drôme, et enfin « Col de Chamauche – Saint-Nazaire-le-Désert / SR 13 / 12 km / 12h56 ». La dernière halte du jour, avant le retour sur Valence (15h10), a pour théâtre la Place du Champ de Mars à Crest avec l’accueil d’un contrôle horaire à partir de 14h15.
Vendredi 6 février, le départ de Valence est fixé à 07h00. Cette 2e et dernière partie de l’Etape Commune débute par « Aucelon – Barnave / SR 14 / 14 km / 08h31 » avec le passage du Col de Pennes (1040 m). La continuité de l’étape passe par « Bréziers – Selonnet / SR 15 / 14 km / 11h09 » et son redouté Col des Garcinets (1185 m). Enfin, pour en terminer avec la redescente vers la Principauté de Monaco, les concurrents encore en course ont rendez-vous avec l’épreuve de « Digne-les-Bains – Chaudon / SR 16 / 12 km / 12h43 » avec comme éternelle difficulté le Col de Corobin (1211 m). L’entrée en Parc Fermé à Monaco est prévue à 16h15, précédée de deux contrôles horaires, à Saint-André-les-Alpes (13h30) puis à la Turbie (15h45).
Le départ de l’Etape Finale, disputée dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 février, aura lieu à Monaco à partir de 21h00. Avec au menu de cette dernière nuit deux monuments de la légende du Rallye Automobile Monte-Carlo à parcourir. Ainsi « La Bollène-Vésubie – Col de Turini / SR 17 / 15 km / 22h28 » et « La Cabanette – Col de Braus / SR 18 / 14 km / 23h06 » scellent de leur empreinte une édition de caractère. Arrivée prévue sur le Port Hercule de Monaco à partir de 00h30.
Enfin, selon la tradition, la Soirée de Gala et de Remise des Prix se déroulera le samedi 7 février au soir, dans la prestigieuse Salle des Etoiles au Sporting Monte-Carlo. (Smoking ou Tenue de soirée exigés).
NB : ÉPREUVES, KILOMÉTRAGES ET HORAIRES DONNÉS À TITRE INDICATIF, JUSQU’À LA PUBLICATION OFFICIELLE DE L’ITINÉRAIRE.
Entre contraintes administratives et réglementaires, autant dire que définir les principaux contours du parcours n’a pas été de tout repos pour les membres du Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco. Après de longues semaines de gestation, où les nombreux aléas du terrain ont dû être déjoués, les voyants sont enfin au vert pour l’organisation de cette 94e édition. Revue de détails de la doyenne des sportives routières, manche inaugurale du Championnat du Monde des Rallyes de la FIA 2026* (WRC), qui devrait susciter l’intérêt de nombreuses équipes et concurrents.
Après les reconnaissances, programmées du dimanche 18 janvier au mardi 20 janvier, les équipages autorisés à prendre le départ retrouvent, dès le mercredi 21 janvier à partir de 14h01, une séance de mise au point modifiée (Shakedown – 4,80 km) pour se mesurer en réelles conditions de course. Il s’agit du parcours introduit en 2017, rallongé cette année, qui emprunte désormais les Routes de la Garde et de Rabou, à Gap, ville hôte de l’épreuve de 2014 à 2021, et de nouveau depuis 2024.
Le départ officiel de cette 94e édition du Rallye Automobile Monte-Carlo est prévu le lendemain, jeudi 22 janvier à 14h00, depuis la rampe podium aménagée sur le Quai Albert 1er à Monaco. Au programme de cette première étape, trois spéciales chronométrées, d’un total de 61,58 kilomètres. Organisées dans les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence, les épreuves de « Toudon / Saint-Antonin » (ES 1 – 22,90 km – 15h35), « Esclangon / Seyne-les-Alpes » (ES 2 – 23,48 km – 18h03) et « Vaumeilh / Claret » (ES 3 – 15,20 km – 19h51) peuvent d’entrée créer des surprises de taille.
Deux départements (Drôme et Hautes-Alpes) accueillent le deuxième jour de course, vendredi 23 janvier, totalisant 129,38 kilomètres contre le chronomètre. Avec une boucle de trois épreuves spéciales à disputer à deux reprises, composée de « Laborel / Chauvac-Laux-Montaux » (ES 4/7 – 17,84 km – 08h36/14h58), « Saint-Nazaire-le-Désert / La Motte-Chalancon » (ES 5/8 – 29,00 km – 10h04/16h26) et « La Bâtie-des-Fonts / Aspremont » (ES 6/9 – 17,85 km – 11h22/17h44), cette 2e étape aux très nombreuses difficultés est tout simplement la plus longue de toutes.
Et ce, contrairement au troisième jour de course, samedi 24 janvier, majoritairement bas-alpin, qui affiche un total de 78,22 kilomètres chronométrés. Cette journée est certes plus courte, mais demeure néanmoins toute aussi corsée. Au programme, l’inédite épreuve de « La Bréole / Bellaffaire » via le Col des Garcinets (ES 10/12 – 30,10 km – 08h05/12h05), à parcourir deux fois, et la reprise de « Vaumeilh / Claret » du jeudi soir en mode diurne (ES 11 – 15,20 km – 09h18). Contrairement à l’édition 2025, le retour en Principauté de Monaco s’effectue le samedi en fin d’après-midi avec, pour conclure cette 3e étape, une super-spéciale – dont le projet est à l’étude – une première depuis 2008 (ES 13 – 2,82 km – 17h45), tracée sur la partie basse du Circuit de Monaco.
Enfin, en guise de conclusion dimanche 25 janvier, deux chronos sont à disputer à deux reprises, dans l’arrière-pays, totalisant 71,62 kilomètres. Une ultime confrontation entre les secteurs chronométrés de « Col de Braus / La Cabanette » (ES 14/16 – 12,48 km – 08h00/11h10) et « La Bollène-Vésubie / Moulinet » (ES 15/17 – 23,33 km – 09h05/13h15), qui fera office de la Wolf Power Stage lors du second passage. Le podium final et la remise des prix, organisés sur le Port Hercule, sont programmés à partir de 17h00…
NB : Kilométrages et horaires donnés à titre indicatif jusqu’à la publication officielle de l’itinéraire.
Le « Super-vainqueur » du Monaco E-Prix en mai dernier a couronné sa superbe saison ce week-end à Berlin en décrochant son premier titre mondial. Une première pour le pilote britannique !
L’histoire retiendra son nom pour cette saison 11. Oliver Rowland est devenu ce week-end à Berlin Champion du Monde FIA de Formule E, concluant une campagne impressionnante sous les couleurs du Nissan Formula E Team.
Victorieux à 4 reprises cette saison (Mexico City, Jeddah, Monaco, Tokyo) et auteur de 7 podiums, le Britannique abordait les deux manches berlinoises avec une avance confortable de 69 points sur son dauphin au classement, Pascal Wehrlein. Il pouvait ainsi être sacré dès ce week-end, avant même les deux dernières courses programmées à Londres à la fin du mois.
Malgré un abandon en course samedi, Oliver Rowland a transformé l’essai dès ce dimanche avec une 4e place et désormais 59 points d’avance sur son premier poursuivant. Il a ainsi décroché son premier titre mondial en Formule E, récompense d’une saison exceptionnelle.
Le passage du championnat par la Principauté en mai avait constitué l’un des tournants de la saison pour Rowland. Devant des tribunes combles, il avait dominé la première course du week-end, avant d’assurer une solide deuxième place le lendemain. Ces résultats lui avaient permis d’inscrire son nom comme premier « Super-vainqueur » du Monaco E-Prix 2025, distinction inédite mise en place cette année pour récompenser la régularité sur les deux courses du week-end.
« Monaco reste toujours un moment particulier dans la saison, et cette année encore plus avec ce nouveau trophée. Ça m’a donné un élan incroyable pour la suite », confiait-il après sa victoire en mai.
L’Automobile Club de Monaco félicite Oliver Rowland pour sa magnifique saison et donne d’ores et déjà rendez-vous aux passionnés pour la prochaine édition du Monaco E-Prix, en 2026, qui promet encore spectacle et émotions.
La billetterie ouvrira dans les prochains mois. Restez informés sur nos sites acm.mc & monaco-eprix.com et nos réseaux sociaux !
𝗢𝗹𝗶𝘃𝗲𝗿 𝗥𝗼𝘄𝗹𝗮𝗻𝗱 is the new ABB FIA Formula E 𝙒𝙤𝙧𝙡𝙙 𝘾𝙝𝙖𝙢𝙥𝙞𝙤𝙣 🏆🌟
Congratulations 👏🎉
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𝗢𝗹𝗶𝘃𝗲𝗿 𝗥𝗼𝘄𝗹𝗮𝗻𝗱 est le nouveau 𝘾𝙝𝙖𝙢𝙥𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙪 𝙈𝙤𝙣𝙙𝙚 ABB FIA de Formula E 🏆🌟
Félicitations 👏🎉#FormulaE #WorldChampion #BerlinEPrix… pic.twitter.com/ETkDyqcBqo
— Automobile Club de Monaco (@ACM_Media) July 13, 2025
L’évolution technologique sans précédent prônée par les constructeurs, en termes d’autonomie des véhicules électriques force, par conséquent, les organisateurs de la discipline à hausser la complexité de leurs épreuves. Et c’est justement le défi que vient à nouveau de relever le Comité d’Organisation de la version 100% électrique du Rallye Monte-Carlo, 13e et avant-dernière manche de la Bridgestone FIA ecoRally Cup 2025, qui cette année célèbre le 30e anniversaire de sa création et d’innovations.
Avec un parcours de 14 Spéciales de Régularité (SR), pour un total de plus de 230 kilomètres chronométrés, autant dire que cette nouvelle mouture s’annonce encore bien plus relevée que les précédentes ! Si son caractère secret disparaît, son programme demeure néanmoins très étoffé, intense et exigeant. Le « Grand Départ » aura cette année encore le somptueux cadre de la place du Casino à Monte-Carlo, symbole d’élégance et de tradition. Le rallye se déroulera en quatre étapes condensées, réparties sur trois départements français – les Alpes de Haute-Provence, les Alpes-Maritimes et le Var – avec une incursion attendue par les massifs du Piémont et un retour par le parc du Mercantour.
Fidèle à sa réputation, le Comité d’Organisation a renforcé les défis proposés, notamment avec un terrain plus technique et sélectif. Les spéciales historiques du légendaire « Monte-Carlo » sont encore de la partie, pour le plus grand plaisir des passionnés. Mais l’innovation est aussi à l’honneur ! Ainsi plusieurs nouvelles épreuves inédites viennent enrichir le parcours, ajoutant un souffle de modernité à la compétition. Autre évolution majeure : l’autonomie des véhicules de nouvelle génération, de plus en plus performants, pourrait bien devenir l’un des facteurs déterminants de la réussite. Dans ce contexte, Constructeurs et équipages, toujours plus nombreux à relever le défi, devront conjuguer technologie, endurance et intelligence de course pour espérer marquer leur empreinte au palmarès de cette compétition légendaire…
Départ de Monaco Place du Casino à 18h30
Départ de Monaco à 08h30
Départ de Monaco à 08h30
Départ de Monaco à 07h00
Les Formule 1 à moteur turbo pourront participer au 15e Grand Prix de Monaco Historique, en avril 2026. L’évolution des règlements de la FIA va en effet permettre au Comité d’Organisation et de Sélection de l’Automobile Club de Monaco (ACM) de leur réserver une classe spécifique, comme cela était initialement prévu en 2022, lors de l’instauration de la Série G réservée aux monoplaces de F1 ayant couru le Grand Prix de Monaco entre 1981 et 1985.
Les vedettes, en revanche, et pour le plus grand plaisir des nostalgiques de l’âge d’or de la F1, devraient rester les monoplaces à moteur 3 litres. Généralement dotées de V8 Ford Cosworth DFV, dont l’avènement à partir de 1966 a changé fondamentalement l’image et la notoriété de la F1. C’est ainsi qu’un plateau attendu de 80 à 100 voitures dans les Séries D à G, toutes généralement dans un état de conservation parfaite, capables de rouler plus vite qu’il y a cinquante ans dans les rues de Monaco, dans des conditions d’adhérence bien meilleures et en toute sécurité.
Soucieux de préserver l’identité du Grand Prix, les organisateurs ont décidé de conserver la Série A1, réservée exclusivement aux voitures d’avant-guerre, en considérant que les Bugatti (35, 37 et 51) et les Maserati constituent l’ADN de ce Grand Prix de Monaco.
Pour le reste, la série A2 (après-guerre, moteur avant) et la série C (voitures de Sport), sont reconduites sans changement, tout comme les cinq autres plateaux de F1 qui permettent de présenter l’évolution des Grands Prix sur près de 40 ans (de 1946 à 1985). Plusieurs hommages et anniversaires sont déjà prévus, dans le cadre authentique et majestueux du circuit de la Principauté, et plusieurs belles pages de l’Histoire de la course automobile seront tournées, odeurs vibrations et bruits compris, durant cette 15e édition du Grand Prix de Monaco Historique. Flash-back sur les anniversaires à fêter :
Il y a 100 ans (1926), Maserati débutait en course. Au-delà de leur potentielle présence en Série A1 (les modèles éligibles vont des type 26, 26B, 26C, 26M aux 4CL en passant par les 8C, 4CM, V8RI, 8CM, 6C-34, 6CM et 8CTF), les belles et rebelles italiennes concernées en Série A2 sont, outre les 250F (Victorieuses avec Stirling Moss il y a 70 ans (1956) et avec Juan-Manuel Fangio en 1957), les 4CL, 4CLT/48, A6GCM et A6GCM. Dans la Série C, l’ACM espère toujours compter sur la participation de 150S, 250S et 300S.
Il y a 80 ans (1946), sortait la première Gordini imaginée par Amédée, le grand sorcier français d’origine italienne, et il y a 70 ans (1956), c’était la dernière apparition, au Grand Prix d’Italie à Monza, d’une voiture de la marque en championnat. Il faudra attendre Matra, en 1967 à Monaco, pour revoir une voiture bleue en F1.
Il y a 60 ans (1966), la nouvelle règlementation sur les moteurs de F1 (3 litres de cylindrée) entrait en vigueur et permettait à McLaren de débuter en Grand Prix. Avec au volant le fondateur de la marque, Bruce McLaren, vainqueur en 1962 dans une Cooper-Climax régulièrement engagée dans le Grand Prix de Monaco Historique. Six décennies plus tard, l’écurie anglaise, désormais dirigée par Zak Brown, est aux avant-postes de la F1 moderne (Champion du Monde des Constructeurs 2024, une première depuis la fin des années 90). Le palmarès de McLaren à Monaco se passe de tout commentaire : 58 participations, pour 15 victoires, 11 pole positions et 28 podiums ! La dernière victoire de la marque anglaise en Principauté remonte déjà à 2008, grâce à un certain Lewis Hamilton.
Il y a également 60 ans (1966), Guy Ligier débutait dans la discipline reine avec une Cooper… dotée d’un moteur V12 Maserati ! 10 ans plus tard, Il y a 50 ans (1976), Ligier débarquait en F1 comme Constructeur, au GP du Brésil, avec une JS5 à moteur Matra, pilotée par Jacques Laffite, qui est ensuite devenue une JS7 en 1977. Le premier fait de gloire de cette voiture a été une pole position en Italie, sur le circuit de Monza, grâce à la puissance monstrueuse de son moteur V12 français. Cette même année, le jeune Alain Prost, futur quadruple Champion du Monde de F1, a débuté en monoplace (et remporté le Championnat de France de Formule Renault), suite à sa victoire dans le Volant Elf, sur le Circuit Paul Ricard.
Il y a 30 ans (1996), Ligier a remporté, grâce à Olivier Panis, son unique victoire dans un Grand Prix de Monaco, la seule d’une voiture française après-guerre. Ce sera surtout l’ultime succès de Ligier en F1 (9 en tout) avant la revente de l’écurie française à Flavio Briatore, qui l’a ensuite transmise à Alain Prost.
Programme prévisionnel
Huit Séries – Réservées aux voitures ayant participé à des Courses Internationales et conformes aux règlements en vigueur à la période concernée
SÉRIE A1 – LOUIS CHIRON – Voitures de Grand Prix d’avant-guerre et Voiturettes
Classe 1 : Voitures de Grand Prix (supérieur à 1500cm3)
Classe 2 : Voiturettes (inférieur à 1500cm3)
SÉRIE A2 – JUAN MANUEL FANGIO – Voitures de Grand Prix à moteur avant, construites avant 1961
Classe 1 : Voitures construites entre le 1er Janvier 1946 et le 31 Décembre 1953, équipées d’un moteur à compresseur de 1500 cm3 maximum ou d’un moteur sans compresseur de 4500 cm3 maximum
Classe 2 : Voitures de F2 construites avant le 31 Décembre 1953 dont la cylindrée n’excède pas 2000 cm3 sans compresseur
Classe 3 : Voitures de F1 construites entre le 1er Janvier 1954 et le 31 Décembre 1960 dont la cylindrée n’excède pas 2500 cm3 sans compresseur ou 750 cm3 avec compresseur
Classe 4 : Voitures hors classes 1-2-3 mais ayant un rapport historique avec celles engagées dans le Championnat du Monde F1 entre 1950 et 1960
SÉRIE B – GRAHAM HILL – Voitures de Grand Prix à moteur arrière, 1500, F1 de 1961 à 1965 et F2 de 1956 à 1960
Classe 1 : F2 construites entre le 1er Janvier 1956 et le 31 Décembre 1960
Classe 2 : Voitures équipées d’un moteur de 4 ou 6 cylindres
Classe 3 : Voitures équipées d’un moteur de 8 ou 12 cylindres
SÉRIE C – VITTORIO MARZOTTO – Voitures de Sport à moteur avant de 1952 à 1957
Classe 1 : Voitures dotées d’un moteur de moins de 2L
Classe 2 : Voitures dotées d’un moteur de plus de 2L et équipées de freins à tambour
Classe 3 : Voitures dotées d’un moteur de plus de 2L et équipées de freins à disques
SÉRIE D – JACKIE STEWART – Voitures de Grand Prix F1–3L de 1966 à 1972
Classe 1 : Voitures construites ou ayant participé à des GP de F1 entre le 1er Janvier 1966 et le 31 Décembre 1969
Classe 2 : Voitures construites entre le 1er Janvier 1970 et le 31 Décembre 1972 équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV
Classe 3 : Voitures construites entre le 1er Janvier 1970 et le 31 Décembre 1972 équipées d’un autre moteur
SÉRIE E – NIKI LAUDA – Voitures de Grand Prix F1–3L de 1973 à 1976
Classe 1 : Voitures équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV
Classe 2 : Voitures équipées d’un autre moteur
SÉRIE F – GILLES VILLENEUVE – Voitures de Grand Prix F1–3L de 1977 à 1980
Classe 1 : Voitures conçues sans effet de sol
Classe 2 : Voitures conçues avec effet de sol et équipées d’un moteur Ford-Cosworth DFV
Classe 3 : Voitures conçues avec effet de sol et équipées d’un autre moteur
SÉRIE G – AYRTON SENNA – Voitures de Grand Prix F1 de 1981 à 1985
Classe 1 : Voitures équipées d’un moteur atmosphérique
Classe 2 : Voitures équipées d’un moteur Turbo
Monaco, le 11 avril 2025