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Série A, essais libres : Talbot-Lago bat Frazer-Nash

C’est la superbe Talbot-Lago du Suisse Christian Traber qui a signé le meilleur chrono de la 1re séance d’essais libres pour la Série A, en 2 min 16 sec 311/1000, avec seulement une demi-seconde d’avance sur la Frazer Nash de Patrick Blakeney-Edwards et plus de trois secondes d’avance sur la Maserati 6CM d’un autre Britannique, Ewen Sergison.

Charles Leclerc en visite

Le Monégasque Charles Leclerc est venu en voisin avec sa compagne, pour la première fois de sa vie de pilote de la Scuderia Ferrari en F1, visiter le paddock du GP de Monaco Historique. Lors des dernières éditions, il avait toujours une course à cette période de l’année. Il s’est attardé sur les monoplaces rouges, mais pas seulement. Et il a passé un long moment à côté de la 312 “chasse-neige”, qui n’a jamais gagné, rendue fameuse par la forme de son museau avant.

Une March pas comme les autres…

La March 721 G inscrite par David Shaw dans la Série E n’est pas une F1 comme les autres. Déjà, à la base, c’était une coque de F2 modifiée et adaptée. Ensuite, une version privée, baptisée Eifelland E21, a été dotée par le designer Suisse Luigi Colani d’un cockpit percé d’une grosse prise d’air, en plein milieu de sa face avant, et surmonté d’un rétroviseur central. “J’ai racheté cette voiture en 2015 à un Allemand qui avait été victime d’un gros crash à Brands Hatch. Elle était très abîmée et en configuration classique, comme le modèle que pilotait John Watson à l’époque, donc j’ai fait refaire complètement le dessus du cockpit, avec la prise d’air et le rétroviseur central. Mais il est inutilisable, ce rétro, car beaucoup trop haut, donc j’ai fait ajouter deux petits rétroviseurs sur les côtés”, sourit le pilote et propriétaire de cette March vraiment pas comme les autres (5 exemplaires produits en 1972).

Vérifications techniques : top départ !

Les commissaires techniques de l’ACM sont des lève-tôt : dès 8h ce jeudi matin, autour de leur président de Commission Renato Moscati, ils (et elles) ont commencé à passer chaque voiture à la loupe, en examinant minutieusement l’état des équipements de sécurité : extincteur, harnais, arceau (qui doit impérativement dépasser de 5 cm le haut du casque du pilote), colonne de direction, casque et combinaison du pilote.

Ils ont aussi vérifié la conformité au Passeport Technique Historique et se sont régalés, comme d’habitude, avec leur œil d’expert(e), en observant de près la qualité de conservation de toutes ces F1 mythiques : des Ferrari, une Hesketh, une McLaren, des Shadow, des March, des Lotus, mais aussi des Maserati, une Talbot Lago, une Aston Martin…

De quoi faire rêver aussi les commissaires techniques.

Les Ferrari de Niki Lauda sont arrivées à bon port !

Les premières vérifications techniques et administratives du 12Grand Prix de Monaco Historique ont commencé jeudi matin, sous un soleil radieux, avec en vedette, sur le Quai Antoine 1er, les deux Ferrari 312 B3 de 1974 que vont piloter René Arnoux et Jean Alesi. Les deux anciens pilotes d’usine Ferrari les ont déjà essayées au Castellet, sur le Circuit Paul Ricard, il y a quelques jours.

Ces superbes monoplaces, dans un état de conservation parfait, sont équipées d’un moteur V12 à 180° de légende et ont servi de laboratoires roulants pour les 312 T et T2 qui ont permis à Niki Lauda de remporter deux titres mondiaux en 1975 et 1977.

Celle qui a été attribuée à Jean Alesi avait signé la pole position du GP de Monaco 1974 et la deuxième, qui portera aussi le numéro 12 et sera confiée à René Arnoux, a disputé 5 GPs en 1974, dont trois courses terminées sur le podium par le futur champion du monde autrichien (2en Argentine, en Belgique et en France).

Il y a des sponsors qu’on n’oublie pas !

Fièrement apposée sur les flancs de la Surtees TS19 d’Alan Jones en 1976, la marque Britannique DUREX fondée en 1929 promettait DUrability (durabilité), REliability (fiabilité) et EXcellence (excellence)… mais cela n’a pas suffi pour atteindre le plaisir de la victoire.

Ergonomie d’époque

Le poste de pilotage de la Gordini T16 de 1952 qui a participé à 17 manches du Championnat du Monde, pilotée notamment par Jean Behra, victorieux à Reims cette année-là : un volant aussi discret que le gouvernail d’un paquebot, un levier de vitesse à la position improbable, des pédales bien difficiles à atteindre pour un être humain normalement constitué… les pilotes de l’époque devaient aussi savoir jouer les contorsionnistes.

Les F1 de James Hunt : première et dernières victoires !

Ce 12GP de Monaco Historique va permettre aux fans de se souvenir de la rivalité entre Niki Lauda et James Hunt, qui a mis le feu au paddock de F1 dans les années 70.

En plus des deux Ferrari 312 B3 pilotées par Lauda en 1974, il y aura cette année sur la piste monégasque deux monoplaces dans lesquelles Hunt a écrit les premières et dernières pages de sa légende : la Hesketh 308 (4 exemplaires produits) dans laquelle il a débuté, en 1974 (2 podiums, abandon à Monaco) et gagné en 1975 au GP de Hollande, le jour de la seule victoire de la marque anglaise en F1 ; la McLaren M26 (7 exemplaires produits) dans laquelle Hunt a remporté ses trois derniers GPs en 1977 (GB, USA, Japon).

 

Alesi : l’hommage à Niki

Jean Alesi est fidèle en amitié autant qu’il est attaché à Monaco. Le GP de Monaco a toujours été pour lui un rendez-vous annuel immanquable.

Il va le courir cette année au volant de la Ferrari 312B3 que son regretté ami Niki Lauda avait porté en pole position au cours de l’édition 1974 et fait triompher en Espagne et aux Pays Bas.

Contacté par le propriétaire allemand de deux des six exemplaires produits par Ferrari de la 312B3, Jean d’Avignon a ensuite été invité à tester la voiture à Fiorano et ce fut une révélation…  L’idée a vite germé de participer à la 12° édition du Grand Prix de Monaco Historique.

Le voilà donc dans le paddock, prêt à faire résonner à nouveau, dans les rues de la Principauté, le bruit magique du V12 à 180° du grand Niki.

Belles Anglaises

Les belles Anglaises ont toujours apprécié Monaco et la French Riviera.

Cette 12e edition du GP de Monaco Historique ne fera pas exception à la règle car les marques du Royaume de sa très gracieuse Majesté (95 ans mercredi) sont une nouvelle fois au rendez-vous : en plus des F1 récentes (Tyrrell, Lotus, March, Hesketh, McLaren, etc.), les fans vont pouvoir admirer sur la piste des Riley et des Frazer Nash des années 30 et 50, une Aston Martin DB3S, des Lister, des Jaguar Type C et D, des Cooper, etc.

 

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