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Tag-Heuer, à vos chronomètres !

À l’occasion de cette 12e édition, TAG Heuer devient le chronométreur officiel du Grand Prix de Monaco Historique. Ce partenariat renforce les liens de longue date de la marque suisse avec la Principauté, et permet à TAG Heuer de présenter une nouvelle montre en édition limitée, la TAG Heuer Monaco Green Dial Calibre Heuer 02.

JJ Bally : et de 12 !

Jean-Jacques Bally a de la suite dans les idées… Il aime le Grand Prix Historique et il lui est très fidèle : 12 participations en autant d’éditions, il se targue d’être le seul à n’avoir jamais raté le rendez-vous du GPH.

Il est inscrit cette année en Série B sur sa Gordini T11/15 habituelle, pilotée en 1947 dans l’équipe officielle par les Princes Bira et Igor Troubetzkoy. Cette voiture est d’autant plus originale qu’elle a été décorée en 2012 par un peintre et artiste plasticien niçois, Patrick Moya. Elle a eu l’honneur d’ouvrir le bal ce matin, quand elle est partie la première sur la piste, à 11h du matin du côté de La Rascasse, en tête de file de la Série B qui passait avant la Série A. M. Bally est aussi inscrit en Série C au volant d’une magnifique Maserati 300S A6 GCS de 1955, à la robe bordeaux plus discrète que celle de la Gordini, mais tout aussi formidable. Une deuxième preuve que sa passion est loin d’être éteinte !

Série A, essais libres : Talbot-Lago bat Frazer-Nash

C’est la superbe Talbot-Lago du Suisse Christian Traber qui a signé le meilleur chrono de la 1re séance d’essais libres pour la Série A, en 2 min 16 sec 311/1000, avec seulement une demi-seconde d’avance sur la Frazer Nash de Patrick Blakeney-Edwards et plus de trois secondes d’avance sur la Maserati 6CM d’un autre Britannique, Ewen Sergison.

Série B, essais libres : deux Maserati 250 F dans le Top 3

Maserati a frappé un grand coup lors de la 1re séance d’essais libres de la Série B, puisque l’Espagnol Guillermo Fierro-Eleta a bouclé un excellent tour en 2 minutes presque tout rond (et 186/1000…), dans sa 250 F, devant le Britannique Max Smith Hilliard dont la Lotus 16 s’est ensuite retrouvée en panne de boîte de vitesse et a dû rentrer en roue libre dans le paddock du Quai Antoine 1er où tout son train arrière a aussitôt été démonté par ses mécanos. Le troisième temps de cette séance a été réussi par une autre Maserati 250 F, la blanche de Martin Halusa, très heureux de ce résultat.

La boîte à malices de la Lotus 16

Après un beau deuxième temps aux essais de la Série B, un problème de boîte de vitesses sur sa Lotus 16 ex-Graham Hill a contraint l’assistance technique de Max Smith Hilliard à une séance de mécanique improvisée. Loin des standards actuels, où un essaim d’ingénieurs et de mécaniciens casqués apparaissent à la moindre défaillance mécanique, ici un seul et unique technicien se charge de remettre le bolide blessé sur ses roues…

Ciel bleu comme Matra

Le paddock du Grand Prix Historique de Monaco s’est réveillé lentement, vendredi matin, sous un ciel intégralement bleu… comme la Matra MS120B (à moteur V12 made in France) de Jean-Pierre Beltoise qui avait abandonné en 1971 (transmission) après avoir signé le 7chrono des qualifications.

Engagée dans la Série E, elle sera pilotée par Nicolas Matile. L’année suivante, en 1972, Beltoise remportait une victoire historique à Monaco, sous la pluie, dans une BRM 100% britannique.

Série C, essais libres : Maserati plus vite que Jaguar

Maserati n’a laissé que des miettes à ses rivaux lors de la 1re séance d’essais libres de la Série C, réservée aux voitures de sport à moteur avant ayant couru entre 1952 et 1957, dont certaines lors de la Coupe du Prince Rainier qui a fait office de GP de Monaco en 1952. Déjà auteur du meilleur chrono de la Série B, l’Espagnol Guillermo Fierro-Eleta a récidivé en 2 minutes 5 secondes et 494/1000 dans une 300 S très impressionnante, face à un plateau aussi varié que relevé. Le deuxième temps de cette séance est revenu à une autre 300 S pilotée par David Hart, devant la Jaguar Type D, avec aileron de requin, de Niklas Halusa, le fils de Martin.

Vérifications techniques : top départ !

Les commissaires techniques de l’ACM sont des lève-tôt : dès 8h ce jeudi matin, autour de leur président de Commission Renato Moscati, ils (et elles) ont commencé à passer chaque voiture à la loupe, en examinant minutieusement l’état des équipements de sécurité : extincteur, harnais, arceau (qui doit impérativement dépasser de 5 cm le haut du casque du pilote), colonne de direction, casque et combinaison du pilote.

Ils ont aussi vérifié la conformité au Passeport Technique Historique et se sont régalés, comme d’habitude, avec leur œil d’expert(e), en observant de près la qualité de conservation de toutes ces F1 mythiques : des Ferrari, une Hesketh, une McLaren, des Shadow, des March, des Lotus, mais aussi des Maserati, une Talbot Lago, une Aston Martin…

De quoi faire rêver aussi les commissaires techniques.

Les Ferrari de Niki Lauda sont arrivées à bon port !

Les premières vérifications techniques et administratives du 12Grand Prix de Monaco Historique ont commencé jeudi matin, sous un soleil radieux, avec en vedette, sur le Quai Antoine 1er, les deux Ferrari 312 B3 de 1974 que vont piloter René Arnoux et Jean Alesi. Les deux anciens pilotes d’usine Ferrari les ont déjà essayées au Castellet, sur le Circuit Paul Ricard, il y a quelques jours.

Ces superbes monoplaces, dans un état de conservation parfait, sont équipées d’un moteur V12 à 180° de légende et ont servi de laboratoires roulants pour les 312 T et T2 qui ont permis à Niki Lauda de remporter deux titres mondiaux en 1975 et 1977.

Celle qui a été attribuée à Jean Alesi avait signé la pole position du GP de Monaco 1974 et la deuxième, qui portera aussi le numéro 12 et sera confiée à René Arnoux, a disputé 5 GPs en 1974, dont trois courses terminées sur le podium par le futur champion du monde autrichien (2en Argentine, en Belgique et en France).

Il y a des sponsors qu’on n’oublie pas !

Fièrement apposée sur les flancs de la Surtees TS19 d’Alan Jones en 1976, la marque Britannique DUREX fondée en 1929 promettait DUrability (durabilité), REliability (fiabilité) et EXcellence (excellence)… mais cela n’a pas suffi pour atteindre le plaisir de la victoire.

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