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ES2 : Seb Ogier continue…

Sébastien Ogier (Toyota) a continué jeudi soir sur son rythme infernal, en réussissant un deuxième temps scratch d’affilée dans la deuxième spéciale de cette 93e édition, entre Faucon-du-Caire et Bréziers (ES2, 21,18 km), la spéciale la plus longue de cette première soirée.

L’octuple champion du monde a fait un nouveau sans-faute mais n’a devancé que de 9 dixièmes Thierry Neuville (Hyundai), désormais 2e à 5.3 secondes du Français. « Les conditions de cette spéciale étaient beaucoup plus inégales que la précédente. J’ai été un peu trop prudent, surtout sur la fin, mais c’était plus compliqué d’être aussi engagé que dans l’ES1. Je n’ai pas fait une bonne spéciale, mais j’ai fait un bon chrono », a dit Ogier au point stop de cette ES2.

« Cette spéciale était très sale sur la fin, donc j’ai été obligé de ralentir. Je pense que les spectateurs ont un peu sali la route (en marchant dessus) », a dit Neuville, double vainqueur en Principauté (2020 2024). Quant à Adrien Fourmaux (Hyundai), 3e de cette spéciale à 1.2 seconde seulement d’Ogier, la référence absolue du Monte-Carlo, il n’est plus qu’à deux dixièmes d’Elfyn Evans (Toyota) au classement général.

Le Français avait annoncé avant le départ, jeudi sur la Place du Casino, son intention de faire une course d’attente, pour sa première course dans une Hyundai après cinq saisons chez Ford M-Sport. « C’était incroyable, la vitesse au début de la spéciale était énorme. C’était très piégeux, avec de la glace par endroits. Une spéciale digne du Monte-Carlo », a résumé Fourmaux, auteur de cinq podiums l’an dernier dans une Ford de M-Sport, et 5e du championnat 2024.

Derrière le trio de tête, provisoirement constitué d’Ogier, Neuville et Fourmaux, un autre pilote Hyundai, Ott Tänak, a pris la 4e place de cette ES2, à 6.4 secondes d’Ogier. Soit un bien meilleur résultat que Kalle Rovanperä, 9e seulement de cette spéciale à 22.9 secondes du Tricolore, soit plus d’une seconde encaissée par kilomètre. Le Finlandais, double champion du monde, a même été devancé par son compatriote Sami Pajari, chez Toyota lui aussi mais débutant dans la catégorie Rally1.

« Ce n’est pas moi qui suis plus rapide que Kalle, c’est nous deux qui sommes mauvais », a souri le champion 2024 du WRC2, d’une humilité totale. En WRC2, la bagarre a continué, en tête, entre le Russe à licence bulgare Nikolay Gryazin, dans sa Skoda Fabia RS, et le Français Yohan Rossel (Citroën C3). Ils ont devancé Oliver Solberg (Toyota Yaris Rally2), reparti à l’attaque après une touchette et un changement de roue dans l’ES1.

Résultat ES2

ES1 : Ogier impressionnant !

Le maestro du Monte-Carlo, Sébastien Ogier (9 victoires), a démarré la 93e édition sur les chapeaux de roue, en signant le meilleur temps dans la toute première spéciale, jeudi soir entre Digne-les-Bains et Chaudon-Norante (ES1, 19,01 km).

Chaussée de nouveaux pneus Hankook super-tendres, la Toyota Yaris de l’octuple champion du monde a été très efficace et le pilotage d’Ogier a fait le reste, sur une route étroite et glissante, par endroits, qui n’était pas encore trop sale. En 11 minutes, 30 secondes et 4 dixièmes, le Français a infligé 3.9 secondes à Elfyn Evans, son coéquipier chez Toyota, et 4.4 secondes au nouveau champion du monde, Thierry Neuville, dans la Hyundai portant le numéro 1.

« Je me sentais plutôt bien. Je m’attendais à des conditions un peu plus délicates. Finalement, c’était une spéciale agréable, en termes de pilotage », a dit Ogier au point stop. La bonne surprise de cette première spéciale est venue d’Adrien Fourmaux (4e), le nouveau pilote Hyundai, intercalé entre ses deux champions du monde de coéquipiers, Neuville et Ott Tänak (5e). L’Estonien, meilleur temps du shakedown mercredi soir à Gap, n’a encore jamais réussi à remporter le Monte-Carlo.

Autre surprise relative, Kalle Rovanperä (Toyota), de retour à temps plein en WRC après une année de semi-repos (7 rallyes disputés, 2 victoires), a encaissé un déficit de 15.6 secondes sur Ogier. Mais il n’était pas surpris : « Les autres pilotes ont fait cette spéciale l’an dernier, pas moi », a rappelé le jeune Finlandais, plus jeune double champion du monde de toute l’histoire du WRC, en 2022 et 2023.

En WRC2, la bagarre a commencé sur des bases élevées, par un meilleur chrono du Bulgare Nikolay Gryazin, dans sa Skoda Fabia RS. Avec deux dixièmes d’avance seulement sur Yohan Rossel (Citroën C3). Dans le même temps, Oliver Solberg a dû s’arrêter dans la spéciale pour changer une roue arrière, sa jante ayant été abîmée lors d’une touchette contre un gros caillou. Le Suédois, fils de Petter Solberg, le champion du monde 2003, a perdu près de 5 minutes dans cette première spéciale. Cela fait déjà un candidat retardé dans la course à la victoire en WRC2. Mais le rallye est encore long.

Résultat ES1

Départ haut de gamme sur la place du Casino

Le départ du 93e Rallye Monte-Carlo a été donné jeudi en début d’après-midi, sur la place du Casino, à 68 équipages, dont quatre champions du monde (Thierry Neuville, Sébastien Ogier, Kalle Rovanperä et Ott Tänak), au volant de deux Toyota et deux Hyundai. Ils sont aussitôt partis pour une longue liaison routière vers les trois premières épreuves spéciales, prévues dans la soirée entre les Alpes de Haute-Provence et les Hautes-Alpes.

« Ce n’est jamais facile de commencer une saison de rallye, surtout dans un Monte-Carlo où, d’une année sur l’autre, rien n’est jamais pareil, même dans les épreuves spéciales qu’on connaît très bien. Il va falloir éviter les nombreux pièges, jusqu’au bout, comme d’habitude », a dit Sébastien Ogier, l’octuple champion du monde des rallyes et neuf fois vainqueur du Monte-Carlo (8 fois en WRC, une fois en IRC), sur le podium de départ. Sa Toyota Yaris, toujours dans une superbe livrée noir mat, porte son numéro fétiche, le 17 (il est né le 17 décembre 1983 à Gap). Le pilote des Hautes-Alpes ne vise plus le titre mondial, seulement quelques manches chaque année, pour le plaisir. « Je veux passer du temps avec ma famille, donc je regarde surtout les dates des vacances scolaires avant d’élaborer mon calendrier de rallyes, en accord avec mon équipe », a ajouté Ogier. Depuis 12 ans, il a toujours fini 1er ou 2e en Principauté !

 

Des voitures plus légères et plus agiles

Comme chaque année, l’Automobile Club de Monaco (ACM) avait parfaitement organisé cette cérémonie de départ haut de gamme, suivie sur place par plusieurs VIPs dont Thierry Boutsen, l’ancien pilote de Formule 1, et Michèle Mouton, désormais retraitée après dix ans de service comme responsable de la sécurité du championnat du monde WRC. Aux côtés aussi de Raphaël Varane, le champion du monde de football, et de Yannick Nyanga, l’ancien rugbyman du XV de France, les nombreux invités ont assisté au défilé de 68 superbes voitures, dont celles de la catégorie-reine (Rally1) qui ne sont plus équipées, depuis cette année, d’un système de propulsion hybride.

« Les voitures sont plus légères, donc plus agiles, et il y aussi de nouveaux pneus (coréens, fournis par Hankook), donc ça fait beaucoup de nouveautés. J’ai une nouvelle voiture, je suis dans une nouvelle écurie. Le rallye va être long, et la saison va être longue, donc il faut voir un peu quel est le rythme des autres, au début… » a dit Adrien Fourmaux, le nouveau pilote Hyundai, avant de monter sur la rampe de départ. Le drapeau monégasque a été agité par diverses personnalités, devant les 68 concurrents. Dont cinq Toyota Yaris officielles du Gazoo Racing, trois Hyundai i20N engagées par Hyundai Motorsport, et deux Ford Puma engagées par l’écurie anglaise M-Sport de Malcolm Wilson.

 

Ce grand départ était aussi l’occasion pour les spectateurs de voir les 23 voitures engagées dans la catégorie WRC2 (forfait de Matthieu Margaillan suite à son accident au shakedown), où la lutte sera très intense entre plusieurs jeunes pilotes aux dents longues. Et d’encourager une trentaine d’amateurs aux palmarès divers et variés, dont les Monégasques Marc Dessi et Jean-Paul Palmero, le jeune Eliott Delecour, 17 ans, fils du célèbre François (podium à Monaco en 1991) et l’Ardéchois Jérôme Aymard, qui participe chaque année à tous les rallyes Monte-Carlo (WRC en janvier, Historique en février, e-rallye en octobre).

Trois spéciales en hors d’oeuvre

Avec comme destination finale le parc d’assistance de Gap, la préfecture des Hautes-Alpes, tout le monde est donc parti pour une longue liaison vers les trois premières épreuves spéciales de cette édition 2025, soit 54,16 km chronométrés. D’abord l’ES1 entre Digne-les-Bains et Chaudon-Norante (19,01 km). Puis l’ES2 entre Faucon-du-Caire et Bréziers (21,18 km), la spéciale la plus longue de cette première soirée très attendue par les fans. Et l’ES3, entre Avançon et Notre-Dame-du-Laus (13,97 km), où les pilotes ont de fortes chances de trouver des plaques de neige ou de verglas, en pleine nuit (départ de la première voiture à 21h00).

La nuit sera forcément très courte, à Gap, avant la grosse journée de vendredi, pour deux boucles de trois épreuves spéciales (ES4 à ES6, puis ES7 à ES9, soit 107 km chronométrés). Et donc une journée entière de bagarre acharnée à tous les étages du classement général. Le 93e Rallye Monte-Carlo est bien parti. Suspense garanti, jusqu’à la grande finale, dimanche à midi dans le Col de Turini !

Revivez la cérémonie de départ en intégralité

Shakedown : Tänak affiche ses ambitions !
25 décembre 2025

Shakedown : Tänak affiche ses ambitions !

Ott Tänak (Hyundai) a bien entamé ce 93e Rallye Monte-Carlo en signant le meilleur chrono absolu (2’09″8) du shakedown, mercredi soir sur les hauteurs de Gap. Le champion du monde 2019 a donné une première idée de ce que pourrait être cette édition 2025 : une bagarre somptueuse et acharnée entre quatre champions du monde, de jeudi à dimanche, sur 18 épreuves spéciales et plus de 300 km chronométrés.

Même si le résultat de cette dernière séance d’essais avant le grand départ de jeudi à Monaco ne peut pas être considéré comme significatif, il va permettre d’alimenter les débats avant le départ de la première spéciale, jeudi soir à Digne-les-Bains. Tänak a réussi son chrono dès son premier passage, par une température ambiante de 5°C, avant que le soleil ne se cache définitivement et rende plus difficile d’améliorer les performances. Il a roulé un peu plus vite, moins d’une seconde, que les deux champions du monde de chez Toyota, Kalle Rovanperä et Sébastien Ogier, ex-aequo à la 2e place avec un temps de 2’10″6. L’Estonien, l’an dernier, avait déjà remporté le shakedown. Mais il n’a encore jamais gagné en Principauté.

Neuville tout près…

Autre grand favori, le Belge Thierry Neuville, champion du monde en titre, a dû se contenter de signer un temps de 2’10″9 à son 2e passage (5e), un dixième derrière un autre pilote Toyota, le Gallois Elfyn Evans (4e). Rien d’inquiétant, donc. A titre de comparaison, l’an dernier à la même époque, Tänak avait roulé en 2’00″4 sur cette portion de 3,28 km. Depuis, les voitures de la catégorie Rally1 ont perdu leur système hybride et donc quelques dizaines de chevaux. Leurs pilotes doivent aussi s’adapter à des nouveaux pneus, les Hankook sud-coréens, qui ont succédé aux Pirelli de ces dernières années.

Aux places d’honneur de cette séance d’essais grandeur nature, le troisième pilote Hyundai Adrien Fourmaux, transfuge de chez Ford M-Sport, a devancé le Japonais Takamoto Katsuta, au volant de la quatrième Toyota du Gazoo Racing. Au sein de l’écurie britannique de Malcolm Wilson, le meilleur temps a été réalisé par le petit nouveau : l’Irlandais Josh McErlean, âgé de 25 ans, devant Grégoire Munster qui attaque sa 2e saison complète en WRC. La moins bonne marque des Rally1 est à mettre à l’actif de Sami Pajari, le champion WRC2 en titre, au volant de la 5e Toyota officielle engagée dans cette 93e édition.

Solberg le plus rapide en WRC2

Le WRC2 va aussi être très disputé cette année entre Gap et Monaco, avec 24 équipages engagés. Dans ce shakedown, c’est Oliver Solberg (Toyota Yaris Rally2), fils de Petter, champion du monde 2003, qui a été le plus rapide (en 2’17″3). Passé à l’intersaison de Skoda à Toyota, le Suédois devance Nikolay Gryazin et Gus Greensmith, dans des Skoda Fabia. Côté français, Yohan Rossel (Citroën C3) a devancé Eric Camilli (Hyundai i20N) et Léo Rossel (Citroën C3), alors que Matthieu Margaillan (Skoda Fabia) a été victime d’une sortie de route.

Dès jeudi soir, les choses sérieuses vont commencer, avec trois épreuves spéciales à partir de 18h00 dans les Alpes de Haute-Provence et les Hautes-Alpes. Ce sera après le départ officiel, sur la place du Casino de Monte-Carlo, à suivre en direct dès 14h00 sur les pages Facebook et YouTube de l’Automobile Club de Monaco.

Quatre champions du monde au départ !

Il y aura quatre champions du monde des rallyes jeudi au départ du 93e Rallye Monte-Carlo, soit deux de plus que l’an dernier : Thierry Neuville vient enfin d’être sacré, fin 2024, au terme d’une saison maîtrisée de bout en bout (2 victoires, 6 podiums), et Kalle Rovanperä , qui n’avait disputé que 7 rallyes l’an dernier (2 victoires aussi), est de retour à temps plein. Si l’on ajoute que Sébastien Ogier, huit fois champion du monde et neuf fois victorieux en Principauté, reste pigiste de luxe, et qu’Ott Tänak, sacré en 2019, n’a aucune envie de partir à la retraite, cela fait bien quatre champions du monde, pour 12 titres à eux quatre.

 

Deux de ces champions du monde, le Belge Neuville et l’Estonien Tänak, piloteront une Hyundai i20N, et les deux autres, le Français Ogier et le Finlandais Rovanperä, seront au volant d’une Toyota Yaris. Mais le Gazoo Racing nippon aura l’avantage du nombre, avec aussi dans ses rangs le Gallois Elfyn Evans et le Japonais Takamoto Katsuta, comme l’an dernier, et un nouveau venu, Sami Pajari, 23 ans, sacré champion l’an dernier dans la catégorie WRC2. Soit au total cinq Toyota engagées dans la catégorie-reine, contre trois Hyundai au total, puisque le Français Adrien Fourmaux a rejoint l’équipe coréenne, dans la foulée d’une excellente saison (5 podiums) chez Ford M-Sport. Pour compléter le plateau, deux Ford Puma sont alignées par M-Sport, la structure de Malcolm Wilson. Elles seront pilotées par le Luxembourgeois Grégoire Munster et par l’Irlandais Josh McErlean, 25 ans, issu de la Motorsport Ireland Rally Academy.

 

Comme depuis le retour du rallye dans les Hautes-Alpes, l’an dernier, le parc d’assistance de ce 93e Rallye Monte-Carlo est à nouveau installé à Gap, dans la préfecture du département natal de Seb Ogier. Sur des routes qu’il connaît comme la poche de sa combinaison, le Français de chez Toyota visera une dixième victoire dans un « Monte-Carl’ », ce qui serait un nouveau record absolu. A condition de bien négocier les nombreux pièges des 18 spéciales au menu, soit 343 km chronométrés, de jeudi soir à dimanche matin. Surtout si la météo s’invite à la fête, car des chutes de neige sont toujours possibles fin janvier, dans ces montagnes.

Un parcours musclé

Après le shakedown rituel du mercredi, sur les hauteurs de Gap, tout va vraiment commencer jeudi, à l’heure de la sieste, par la cérémonie de départ devant le Casino de Monte-Carlo, retransmise en direct sur le compte Facebook et la chaîne YouTube de l’Automobile Club de Monaco. Puis dans la soirée les trois premières épreuves spéciales permettront de faire un premier tri parmi les prétendants à la victoire : 54,16 km chronométrés, entre les Alpes de Haute-Provence et les Hautes-Alpes. La première spéciale est prévue sur le coup de 18h00 entre Digne-les-Bains, la préfecture du 04, et Chaudon-Norante (ES1, 19,01 km). Puis la deuxième entre Faucon-du-Caire et Bréziers (ES2, 21,18 km), soit la spéciale la plus longue de cette première nuit. Et la troisième, à partir de 21h00, entre Avançon et Notre-Dame-du-Laus (ES3, 13,97 km). Avant une bonne nuit de sommeil à Gap.

Vendredi, autour de Gap, il y aura trois spéciales le matin (ES4 à ES6) et les mêmes l’après-midi (ES7 à ES9), soit 107,34 km chronométrés, dont Saint-Maurice/Aubessagne, la plus longue spéciale de la journée (18,68 km). Et samedi, deux nouvelles boucles de trois spéciales (ES10 à ES12, puis ES13 à ES15), mais dans la Drôme, pour 131,4 km chronométrés. Dont 27 km très délicats entre La Motte-Chalancon et Saint-Nazaire, une grande classique, la plus longue spéciale du rallye. Il ne restera plus que la dernière matinée de course à boucler, soit 50,9 km répartis sur trois spéciales (ES16 à ES18), entre Gap et Monaco. Avec pour finir, en respectant la tradition, la Power Stage entre La Bollène-Vésubie et Peïra-Cava, via l’emblématique Col de Turini (départ 12h15).

Histoires de famille en WRC2

Pour cette édition 2025, l’ACM avait reçu 92 demandes d’engagement. Elle en a sélectionné 70, dont 47 pilotes « prioritaires » désignés par la FIA. Un mot sur la popularité croissante de la catégorie FIA WRC2, celle des voitures de type Rally2, moins chères à exploiter mais très performantes aussi. L’ACM a sélectionné 24 équipages pour cette course dans la course, à commencer par Oliver Solberg, le fils de Petter (champion du monde 2003), dans une Toyota Yaris Rally2. Ainsi que Nikolay Gryazin (Škoda Fabia RS) et Yohan Rossel (Citroën C3), respectivement 3e et 4e du championnat WRC2 l’an dernier. Le frère de Yohan, Léo Rossel, tout juste sacré champion de France sur asphalte, sera aux côtés de son frère aîné dans l’écurie française PH Sport, tandis que Charles Munster, frère cadet de Grégoire, pilotera une Hyundai i20 N Rally2.

Il y aura aussi au départ le fils de Stéphane Sarrazin, l’ex-pilote Subaru reconverti en patron d’écurie : Pablo, dans une Citroën C3 du Sarrazin Motorsport. Une autre C3 de l’écurie française est alignée pour Sarah Rumeau et Julie Amblard, un duo 100% féminin soutenu par la Fédération Française du Sport Automobile (FFSA). Enfin, parce que bon sang ne saurait mentir, Eliott Delecour, le fils de François Delecour, âgé de 17 ans seulement, va faire ses grands débuts internationaux dans ce Rallye Monte-Carlo, 34 ans après le podium de son papa en 1991 dans une Ford Sierra Cosworth, son premier en WRC. Ce sera dans une Opel Corsa de la catégorie Rally4.

Une armée de bénévoles

Ca promet, et ce sera possible aussi grâce aux centaines de commissaires et d’officiels bénévoles qui, parmi plus de deux mille personnes mobilisées et supervisées par l’ACM, vont assurer la sécurité et le bon déroulement de ce 93e Rallye Monte-Carlo. « C’est un rallye mythique, peut-être le plus mythique et le plus prestigieux de tous. Tout pilote du WRC rêve de le remporter au moins une fois », résume Thierry Neuville. Il est belge, il est champion du monde, il a déjà gagné deux fois en Principauté (2020, 2024). Il sait de quoi il parle et il fait partie des favoris…

 

Le programme TV du Monte-Carlo !
25 décembre 2025

Le programme TV du Monte-Carlo !

Pour cette 93e édition, la manche d’ouverture du Championnat du Monde des Rallyes aura de nouveau un programme de diffusion TV de grande ampleur. L’ensemble des spéciales de ce Rallye Monte-Carlo 2025 seront diffusées en intégralité, dont notamment la Power Stage disponible en clair.

Cette année encore, le groupe Canal proposera un dispositif exceptionnel pour cette épreuve mythique. Ce Monte-Carlo sera à suivre en direct tous les jours avec de nouveau la présence de l’octuple vainqueur de l’épreuve comme co-pilote, Julien Ingrassia, aux côtés de Laurent Dupin et Pauline Sanzey. Dès le premier soir (jeudi 23), 2 spéciales seront disponibles gratuitement et en direct sur Facebook et YouTube de Canal+ Sport. En clôture, la Power Stage La Bollène-Vésubie / Peïra Cava sera diffusée en clair sur Canal + le dimanche 26 dès 12h15.

Monaco Info vous donne rendez-vous pour suivre le Départ Officiel depuis la Place du Casino le jeudi dès 14h. Retrouvez chaque soir « Les Experts du Rallye » (Vanessa Dessi, Christophe Pacaud, Franck Phillips) qui reviendront sur le bilan des spéciales de la journée : vendredi 24 – 21h00 / samedi 25 – 21h00 / dimanche 26 – 21h00.

La cérémonie de Remise des prix ce dimanche sera disponible sur la chaine TVMonaco dès 16h15.

La saison en intégralité sur RallyTV

Pour les passionnés qui souhaitent une expérience plus immersive, l’abonnement à la plateforme officielle WRC+ All Live reste incontournable. Elle vous permet de suivre toutes les spéciales en direct avec des contenus exclusifs (replay, vidéos, archives, émissions).

Côté digital, l’Automobile Club de Monaco diffusera en ligne et en direct la Cérémonie de Départ du Rallye depuis la Place du Casino à Monaco, ainsi que la Cérémonie de Remise des Prix. Ces rendez-vous seront retransmis sur les Pages Facebook et YouTube de l’ACM et sur notre site internet.

Interview Neuville : « Un hat-trick, ce serait pas mal ! »

C’est un Thierry Neuville détendu, serein, heureux, que les équipes de la Commission Média de l’ACM ont rencontré quelques jours avant le départ de ce 93e Rallye Monte-Carlo. Le résident monégasque, récemment intronisé nouveau membre de l’ACM, a deux bonnes raisons de briller cette année : il est Champion du Monde et tenant du titre en Principauté !

Qu’est-ce que ça fait de prendre une nouvelle fois le départ du Rallye Monte-Carlo ?

« C’est l’un des rallyes les plus mythiques du calendrier, sinon le plus mythique et le plus prestigieux. Tout pilote du WRC veut le gagner au moins une fois dans sa vie. Je l’ai gagné deux fois (2020, 2024) et ces deux victoires avaient une saveur particulière. C’étaient de belles victoires, avec la bonne manière. Alors boucler un hat-trick, ce serait pas mal ».

Votre nouveau statut de Champion du Monde change-t-il quelque chose à votre approche ?

« Nous sommes les champions en titre, mais les compteurs sont remis à zéro. On repart dans une nouvelle saison avec les mêmes ambitions, les mêmes objectifs, la même envie, mais un peu moins de poids sur nos épaules. On est un peu soulagés par rapport à cela (le fait d’avoir obtenu le titre mondial), mais la pression d’aller chercher les gros points pour l’équipe est toujours là. C’est bien, et on est prêts. J’ai envie de m’éclater, avec toujours l’objectif de faire gagner Hyundai, pour que son engagement en rallye continue. Il y a aussi la réglementation 2027 qui se profile, la promotion du championnat, beaucoup de questions ouvertes. On va tout mettre dans le même panier pour se donner le plus de chances ».

Quels vont être vos principaux rivaux ?

« Cette année, il y aura un prétendant en plus pour le titre : Kalle (Rovanperä) sera parmi les hommes à battre, même si l’an dernier Sébastien Ogier avait quand même décidé, en cours de saison, de jouer la course au titre jusqu’au bout. Il y aura aussi Ott Tänak, Elfyn Evans et peut-être Adrien Fourmaux également ».

Est-ce que vous écoutez toujours les notes de votre copilote, Martijn Wydaeghe ?

« J’écoute toujours les notes de mon copilote. Sinon, on ne serait pas du tout compétitifs. Il y a certaines spéciales qu’on refait tous les ans, on commence à les connaître, mais il y a énormément de changements sur les routes, d’une année à l’autre, avec la météo, les bosses, la qualité de l’asphalte. Même si on pense connaître le terrain, il faut toujours écouter son copilote. Une fois qu’on est partis dans une spéciale, quand on a le bon rythme, c’est quasiment automatique ».

Comment se passent les liaisons routières ?

« On ne s’ennuie jamais sur les liaisons, parfois hyper-longues, mais on pense toujours à ce que l’on peut faire pour améliorer la voiture, les pneus qu’il faut mettre, les informations qui viennent de l’équipe, la météo, avec des updates toutes les cinq minutes, l’ingénieur qui demande souvent des choses. Sur la première phase du routier, on débriefe la spéciale précédente, puis on s’arrête et on fait des changements sur la voiture pour la spéciale suivante. Il faut ensuite se mettre dans une bulle de concentration, quand on chauffe les pneus et qu’on met le casque, en se focalisant sur la spéciale qui vient. L’atmosphère change alors radicalement, dans la voiture ».

Vos langues maternelles sont différentes avec Martijn, mais pourquoi avoir choisi le français dans la voiture ?

« Nous sommes un peu le symbole de la Belgique, où l’on parle trois langues : Martijn est flamand et moi je suis né dans une région où on parle allemand, mais on parle français dans la voiture. C’est la langue la plus adaptée pour nos notes, pour que ce soit précis au niveau des conditions de route ».

Et comment vous nourrissez-vous, pendant un rallye ?

« Florian (Haut-Labourdette) nous organise les repas de chaque journée, avec un plan de nutrition qu’on suit le mieux possible, même si ce n’est pas toujours facile. On a aussi un catering, au parc d’assistance, et on est bien organisés, l’équipe est bien rodée et ça fonctionne très bien. On mange à midi en regardant les vidéos et les notes pour l’après-midi. Le soir, on rentre à l’hôtel le plus vite possible pour préparer le lendemain, avec pas mal de vidéos à regarder ».

Est-ce que vous appréciez toujours autant la vie à Monaco ?

« Cela fait dix ans que je vis ici, mes enfants vont à l’école et à la crèche à Monaco, j’apprécie la vie ici. Il y a beaucoup de facilités pour un sportif de haut niveau, c’est petit, un peu isolé, avec un bon ensoleillement. Il y a la proximité de l’aéroport, et surtout cette facilité pour régler les formalités administratives. On peut quasiment tout faire à pied, donc ça va très vite ».

Si vous aviez l’opportunité de disputer un Rallye Monte-Carlo Historique, quelle voiture choisiriez-vous ?

« Je partirais probablement avec une Opel Manta 400, pour me faire plaisir. Mais sur un rallye avec beaucoup de neige, une Porsche serait plus compétitive, avec son moteur arrière ».

Qu’auriez-vous fait si vous n’étiez pas devenu rallyman ?

« Je pense que j’aurais pu faire pilote d’hélicoptère. J’ai eu mon brevet il y a huit ans et j’adore ça ».

Découvrez la Fan Zone du Rallye Monte-Carlo !
25 décembre 2025

Découvrez la Fan Zone du Rallye Monte-Carlo !

Incontournable ! Du mardi 21 au samedi 25 janvier, la Fan Zone sera l’un des endroits incontournables de cette 93eédition du Rallye Monte-Carlo. Situé au Théâtre de verdure du Parc Givaudan de Gap, aux portes du Parc d’Assistance, cet espace dédié aux amoureux de l’épreuve offrira de nombreuses animations :

  • Retransmission en direct des spéciales sur écran géant
  • Séances d’autographes
  • Interviews sur scène des pilotes et de nombreuses personnalités
  • Jeux concours
  • Simulateurs WRC
  • Concert

Une trentaine de chalets d’exposants seront présents pour vous accueillir dont notamment un espace de restauration, la prévention routière et les partenaires de l’évènement.

Retrouvez également la Boutique Officielle de l’ACM pour découvrir la collection Rallye Monte-Carlo 2025.

Les pilotes en interview :

De mercredi à samedi, retrouvez vos pilotes et managers favoris sur scène pour des séances d’interviews en public. Découvrez le programme :

Horaires d’ouverture :

Mardi 21.01 : 16:00 – 00:00
Du mercredi 22 au samedi 25.01 : 09:00 – 00:00

WRC 2025 : un festival de nouveautés !

Plus que trois jours ! La saison 2025 du Championnat du Monde des Rallyes (WRC) de la FIA débute jeudi après-midi, par un départ sur la place du Casino de Monte-Carlo à 14h30, et les nouveautés ne manquent pas : nouveau champion du monde, nouvelles épreuves au calendrier, nouveaux pneus, nouveau système de points. Sans compter un retour en arrière souhaité par tous les concurrents : il n’y a plus de système de propulsion hybride sur les voitures de la catégorie-reine (Rally1), ce qui va diminuer la puissance, pour les pilotes, mais améliorer le bilan comptable, pour les écuries !

Cette saison 2025 a fait l’objet d’une cérémonie inaugurale, dimanche soir, dans le cadre somptueux de la place du Casino de Monaco, devant plusieurs centaines de fans du WRC et de touristes de passage en Principauté. Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, était présent, ainsi que le promoteur en chef du WRC, Jona Siebel, et des dirigeants de l’Automobile Club de Monaco (ACM). C’était aussi l’occasion de présenter officiellement le manufacturier coréen Hankook, nouveau fournisseur officiel exclusif de pneus pour le WRC, qui succède donc à Michelin et Pirelli.

Neuville, le nouveau champion !

A tout seigneur tout honneur, la principale nouveauté de cette saison de WRC est l’identité du pilote qui va porter le numéro 1 sur les portières de sa Hyundai i20N : le Belge Thierry Neuville, résident monégasque et enfin récompensé, au bout de sa 15e saison de rallye international (débuts en Catalogne en 2009 !), après 168 départs en WRC, pour 21 victoires et 69 podiums. Il aura toujours à ses côtés l’excellent Martijn Wydaeghe, complice efficace de ses dernières victoires et surtout de ce superbe titre mondial en 2024, tant attendu et tellement mérité.

Un Français chez Hyundai

Aux côtés de Neuville et de l’Estonien Ott Tänak, un autre champion du monde, dans le Hyundai Shell Mobis World Rally Team, il y aura en 2025 un pilote français, Adrien Fourmaux (29 ans), très en vue l’an dernier dans sa Ford et donc recruté logiquement cet hiver par Cyril Abiteboul, le directeur de Hyundai Motorsport. Chez M-Sport Ford WRT, le leader cette saison sera Grégoire Munster, pour sa deuxième saison complète en Rally1. Il pourra jouer le grand frère pour Josh McErlean, issu de la Motorsport Ireland Rally Academy et du championnat FIA WRC2.

Toyota : Rovanperä revient à temps complet

Pour battre Hyundai, le Toyota Gazoo Racing World Rally Team pourra compter à temps plein sur son double champion du monde, Kalle Rovanperä, qui avait pris du recul l’an dernier. Il revient pour une saison complète, aux côtés des habitués Elfyn Evans et Takamoto Katsuta qui, avec le pigiste de luxe Sébastien Ogier (8 titres mondiaux, 9 victoires au Monte-Carlo), ont réussi à reconquérir le titre de champion du monde des constructeurs. Il y aura aussi un nouveau chez Toyota, le très talentueux Sami Pajari, champion 2024 du FIA WRC2 et donc promu à l’échelon supérieur.

Deux grandes nouveautés techniques…

La principale nouveauté technique, pour la saison 2025, c’est l’arrivée du Coréen Hankook comme fournisseur exclusif de pneus. Il fournira des gommes tendres et super tendres Ventus Z215, lors de ce rallye d’ouverture, ainsi que des pneus neige SR20, avec ou sans clous. Hankook lancera ensuite son pneu Dynapro pour les épreuves sur terre, plus tard dans l’année.

Autre évolution notable, les voitures de la catégorie-reine (Rally1) sont désormais plus légères, plus simples et plus abordables, et continuent à utiliser 100 % de carburant durable, comme c’est le cas depuis 2022. Mais elles sont plus légères car elles ne sont plus propulsées par des unités hybrides rechargeables. Dans le cadre du changement de règlement, le poids minimum des voitures a été abaissé de 1260 à 1180 kilos. Pour maintenir un rapport poids/puissance équivalent entre les voitures Rally1 2024 et 2025, la taille du restricteur d’air a été réduite de 36 mm à 35 mm.

Système de points amélioré

L’attribution des points du championnat a encore été améliorée pour 2025, afin de mettre davantage l’accent sur la victoire directe, tout en veillant à ce qu’il y ait encore beaucoup de choses à se disputer le dimanche. Les points sont désormais attribués sur une échelle mobile de 25-17-15-12-10-8-6-4-2-1 aux 10 premiers classés. Le dimanche, les cinq premiers seront récompensés en fonction des résultats de la dernière étape, tandis que les cinq premiers de la Power Stage continueront à marquer 5-4-3-2-1 points. Après avoir pu accumuler un maximum de 30 points en 2024, un pilote qui remporte le rallye, qui est le meilleur du Super Sunday et le plus rapide dans la Power Stage raflera 35 points.

Trois nouveaux rallyes !

Disputé sur 14 manches, contre 13 précédemment, le WRC se rendra pour la première fois sur l’île espagnole de Gran Canaria, puis au Paraguay et en Arabie saoudite pour la dernière manche de la saison 2025. Enfin, le rallye d’Estonie revient au calendrier, après un bref passage l’an dernier en Championnat d’Europe.

Sur tous ces rallyes, l’ancien copilote Nicolas Klinger sera le nouveau délégué à la sécurité du FIA WRC suite à la décision de Michèle Mouton, la grande championne française, de se retirer après plus de dix ans de bons et loyaux services. Le rôle de délégué adjoint à la sécurité de Klinger sera occupé par l’Estonien Priit Priimägi.

Liste officielle des engagés 2025

A tout juste 16 jours du début des vérifications administratives de cette 93e édition du Rallye Automobile Monte-Carlo, qui marqueront le coup d’envoi de l’épreuve d’ouverture du Championnat du Monde FIA des Rallyes 2025 (WRC), le Comité d’Organisation publie ce vendredi la liste officielle des 70 équipages engagés*.

Et en tête de liste, l’on retrouve logiquement les Champions du Monde en titre et vainqueurs de l’édition 2024, Thierry NEUVILLE et Martijn WYDAEGHE, qui pour la première fois de leur carrière arborent le nº 1 et non plus le nº 11 comme ce fut le cas depuis 2019 et l’instauration par la FIA des numéros personnalisés pour les pilotes professionnels.

Avec 10 Rally1 représentant les 3 constructeurs officiels (5 TOYOTA, 3 HYUNDAI et 2 FORD M-SPORT) au départ, autant dire que l’explication pour la victoire finale s’annonce aussi bien indécise qu’intense !

Si les équipages Elfyn EVANS / Scott MARTIN, Takamoto KATSUTA / Aaron JOHNSTON (TOYOTA GR Yaris), Ott TANAK / Martin JARVEOJA (HYUNDAI i20 N) et Grégoire MUNSTER / Louis LOUKA (FORD Puma) restent fidèles à leurs employeurs respectifs. Le transfert de l’hiver concerne Adrien FOURMAUX / Alexandre CORIA passé de la FORD Puma au volant de la HYUNDAI i20 N.

Quant au local de l’étape, le Haut-Alpin Sébastien OGIER – associé à Vincent LANDAIS (TOYOTA GR Yaris) – même s’il ne participe pas à l’intégralité du Championnat, reste sur le papier l’un des principaux prétendants, en quête d’une 10e victoire record au palmarès de l’épreuve Monégasque.

A noter également le retour à temps complet cette année de l’équipage double Champion du Monde 2022 et 2023 Kalle ROVANPERA / Jonne HALTTUNEN (TOYOTA GR Yaris).

Enfin, il convient de saluer l’arrivée de deux petits nouveaux transfuges du WRC2 parmi l’élite, le Champion 2024 Sami PAJARI – associé désormais à Marko SALMINEN – promu chez TOYOTA et Joshua MCERLEAN / Eoin TREACY chez FORD M-SPORT.

D’autres favoris sont également au rendez-vous des autres catégories, à commencer effectivement par le WRC2. Parmi les têtes d’affiches, l’on retrouve, entre-autre, Oliver SOLBERG / Elliot EDMONDSON (TOYOTA GR Yaris), Nikolay GRYAZIN / Konstantin ALEKSANDROV (SKODA Fabia RS), Yohan ROSSEL / Arnaud DUNAND (CITROËN C3) et Gus GREENSMITH / Jonas ANDERSSON (SKODA Fabia RS)….

*Sur les 70 engagés réglementairement acceptés, après étude des 92 dossiers d’inscription reçus complets incluant 47 équipages prioritaires FIA, et au-delà de la présence des 10 Rally1 (Prioritaire 1), il convient de souligner les enregistrements records suivants :

  • 39 Rally2 (dont 29 Prioritaire 2)
  • 13 Rally3 (dont 8 Prioritaire 3)
  • 45 Non-Prioritaires (dont 14 Rally4, 12 Rally5 et 4 RGT)

Découvrez la liste officielle

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