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On a déjà repéré deux voitures portant des plaques d’immatriculation remarquables, parmi les concurrents de ce 8e E-Rallye Monte-Carlo. La superbe Lexus RZ 450 du Gego Team, une équipe belge, porte non seulement le numéro 35, avec à son bord les Belges Alexandre Peeters et Romain Lahaye. Elle est aussi immatriculée Lexus-1, en toute légalité, grâce à la mansuétude des autorités du Plat Pays ! Quant à la Tesla bleue aux couleurs de Fun Drive Monaco, une agence de location de voitures, elle a carrément une plaque monégasque 007, en hommage à James Bond.
Vainqueur du Groupe N en catégorie Promotion, lors du Rallye Monte-Carlo 1988, sur une Renault 5 GT Turbo, Richard Frau est de retour sur le Monte-Carlo, quelques années plus tard, et toujours en Renault 5. Mais tout a changé, notamment le moteur, puisque c’est la version 100% électrique, dévoilée récemment au Mondial de Paris et baptisée « Evolution », que le pilote du sud fait débuter en compétition. Jeudi soir, il est 56e du classement général, avec le numéro 60.
Petite surprise pour les concurrents, jeudi après-midi, à l’arrivée à Entrevaux après la SR6 : Jean-Luc Filippi, alias « le doc », commissaire historique de l’Automobile Club de Monaco, proposait des fruits et des gourmandises sur un petit plateau ACM, à la manière des ouvreuses dans les cinémas du siècle dernier. Beaucoup ont apprécié le geste avant de reprendre la route pour Monaco.
Il fallait une belle spéciale de rallye pour conclure cette 2e journée très animée du 8e E-Rallye Monte-Carlo et la SR6, entre Ubraye et Entrevaux (23,4 km), n’a pas déçu les 62 concurrents. Elle s’est terminée par un doublé Tesla, et même un doublé français puisque Christian Grimaldi (qui n’est pas monégasque…) et Jean-Baptiste Loty (Tesla Model S) ont fait un peu mieux que Didier Malga et Anne-Valérie Bonnel (Tesla Model 3) sur cette route pas évidente à négocier, mais sèche.
Comme dans la spéciale précédente, Olivier Campana et Nicolas Milanesio, dans leur BMW i4 aux couleurs du Yacht Club de Monaco, ont brillé, prenant la 2e place ex-aequo avec le tandem Malga-Bonnel, victorieux en 2017, et consolidant leur 2e place au classement général derrière les très réguliers Eneko Conde et Lukas Sergnese (Kia EV6 GT). Les vainqueurs espagnols de l’édition 2023, arrivés 6e dans cette SR6, continuent à faire la course en tête, sans faire d’erreur majeure. Mais ils n’ont, jeudi soir, que 30 points d’avance sur Campana et Milanesio, alors qu’il reste 8 SR à disputer jusqu’à samedi soir.
Une Kia contre 5 VW ?
Nous ne sommes pas encore à la moitié de cette édition 2024 et un scénario semble se dessiner : la Kia EV6 GT des tenants du titre espagnols est plus que jamais candidate à sa succession en Principauté, mais le bataillon de Volkswagen belges n’a pas encore dit son dernier mot, loin de là. Il y en a cinq dans le Top 10, après 6 SR sur 14. Quant aux deux derniers équipages candidats au titre mondial, celui de vainqueur final de la Bridgestone FIA ecoRally Cup, ils sont pour le moment un peu en retrait : Michal Zdarsky et Jakub Nabelek (Hyundai Kona) à la 5e place, Guido Guerrini et Artur Prusak (Kia E-Niro) à la 8e. Donc rien n’est joué…
Un bonheur n’arrive jamais seul. Après l’équipage italo-monégasque Pastor-Gazzola dans la SR3, c’est un duo 100% monégasque, constitué d’Olivier Campana et Nicolas Milanesio, dans une BMW i4 aux couleurs du Yacht Club de Monaco, qui a le mieux géré la SR5. C’était en début d’après-midi, dans la fameuse Colle Saint-Michel entre Thorame Haute et Le Fugeret : 40 points de pénalité seulement, sur une distance de 18,4 km, avec une montée très étroite et une belle descente vers Annot.
Ils n’ont pas été les seuls à respecter quasi-parfaitement la moyenne imposée par les organisateurs puisqu’ils ont terminé 1er ex-aequo avec les Bulgares Kalin Dedikov et Nikolay Kitanov (Kia EV6) et les Français Christian Grimaldi et Jean-Baptiste Loty (Tesla S). Devant l’autre Tesla de Didier Malga et Anne-Valérie Bonnel (4e), bien plus en forme que le matin, et les Belges Bernard Heine et Valérie Piette (5e), qui venaient de remporter la SR4 dans leur VW ID7 Tourer.
Une fois de plus, Eneko Conde et Lukas Sergnese (Kia EV6 GT), les vainqueurs 2023, ont assuré le coup, prenant une 7e place prudente. De quoi préserver leur place de leaders du classement général de cette 8e édition, devant Campana et Milanesio, les vainqueurs de cette SR5. Avec pour le moment, sur le podium provisoire, le Belge Bruno Thiry. Le champion d’Europe des rallyes en 2003, associé au très efficace Laurent Secrétin dans une VW ID3, commence à prendre goût aux rallyes électriques. Même s’il trouve que ça ne va pas assez vite, par rapport à la plus belle période de sa carrière…
L’armada belge engagée dans ce 8e E-Rallye Monte-Carlo est passée à l’offensive, jeudi matin, en signant un joli tir groupé entre Saint Martin d’Entraunes et le Col des Champs (SR4, 16,1 km), à plus de 2000 m d’altitude. Dans la foulée d’une 2ème place dans la SR3, Bernard Heine et Valérie Piette ont été les plus efficaces de la SR4, dans leur VW ID7 Tourer. Suivis de près, à dix points seulement, par leurs compatriotes Michel Decremer et Jennifer Hugo, dans une ID3 engagée elle aussi par le Belgian VW Club.
Un troisième équipage du Belgian VW Club est rentré dans le Top 5 de cette SR4, celui de l’ID4 pilotée par Bruno Thiry, le champion d’Europe des rallyes en 2003, et parfaitement naviguée par Laurent Secrétin. Juste derrière la BMW EX2 des Monégasques Olivier Campana et Nicolas Milanesio, qui portent les couleurs du Yacht Club de Monaco. Et deux autres équipages du Plat Pays ont complété la démonstration belge, à 2000 m d’altitude : Antoine Dechamps et Bernard Verstraete (VW ID4), 7e ex-aequo avec Eric Cunin et Virginie Palizeul (VW ID3). Soit 5 duos belges dans le Top 8 de cette SR4.
Au classement général, la bonne affaire a une fois de plus été réalisée par Eneko Conde et Lukas Sergnese (Kia EV6 GT), les vainqueurs 2023. En ajoutant une 4e place dans la SR4 à leur 5e place dans la SR3, ils ont consolidé leur place de leaders de cette 8e édition, avec 400 points de pénalité, tout rond, devant trois VW belges (Dechamps, Decremer, Thiry) bien décidées à leur gâcher la journée, et si possible le rallye.
Du côté de la Coupe des Dames, c’est pour le moment une autre Belge, Nadia Delvaux, associée à Jean-Marc Piret dans une Peugeot e-208, qui mène provisoirement la danse, à la 17e place du classement général. Devant Doris Mattei (Hyundai Kona), 24e, et Beitske Visser (Polestar), 27e, qui occupent avec elle les avant-postes du contingent féminin de ce 8e E-Rallye Monte-Carlo. A Colmars les Alpes, une petite collation a été offerte par la commune, puis les 62 équipages sont repartis silencieusement vers les deux dernières spéciales de cette 2e étape.
© ACM
Un pilote monégasque, Jacques Pastor, a hissé sa Kia EV6 en haut de la feuille de résultats de la SR3, jeudi matin, bien aidé par son copilote italien Fulvio Gazzola, le maire de Dolceacqua. L’équipage aux couleurs de la Mairie de Monaco n’a pris que 70 points de pénalité sur 13,1 km entre la station de ski de Valberg, Péone et Guillaumes, et a donc fait mieux que le break VW ID7 Tourer des Belges Bernard Heine et Valérie Piette.
La 3e place de cette SR3 a été prise par les Bulgares Kalin Dedikov et Nikolay Kitanov, dans une autre Kia EV6, devant la Tesla Model 3 de Piotr Moson et Etienne Sorlet, et surtout une autre Kia EV6, la GT d’ Eneko Conde et Lukas Sergnese, vainqueurs de la 7e édition, l’an dernier. Leur 5e place a permis aux tenants du titre espagnols de reprendre les commandes du classement général, en profitant de la contre-performance de Michel Decremer, leader jeudi matin en quittant le parc fermé de Monaco, mais 38e seulement de cette SR3, avec un wagon de pénalités.
La surprise est venue de la très bonne performance d’Ilona Laffite, 19 ans, la benjamine du plateau, associée à Virginie Decorte dans la Mini Countryman N.16 aux couleurs de Nice Matin et de Radio Vinci Autoroutes : 7e de cette SR3, un bien joli résultat pour son tout premier E-Rallye. La prochaine spéciale, la SR4, devait emmener les 62 équipages (abandon de la Tesla S numéro 52) au sommet du Col des Champs, à plus de 2000 m d’altitude. Une altitude inédite pour le E-Rallye Monte-Carlo, avant un regroupement à Colmars les Alpes, cité médiévale fortifiée par Vauban.
Ce 8e E-Rallye Monte-Carlo a vraiment commencé sur les chapeaux de roue, mercredi, à quelques encâblures de la Principauté. Et un autre ancien vainqueur, Frédéric Lansiaux (VW ID3), lauréat en 2021, a été le plus efficace dans la SR2, celle du fameux Col de Turini, longue de 27,8 km. Bien aidé par son copilote Nicolas Buhot, il n’a pris que 90 points de pénalité et a terminé 1er ex-aequo avec une autre VW, l’ID4 des Belges Antoine Deschamps et Bernard Verstraete, et avec une Kia, l’EV6 GT des Portugais Eduardo Carpinteiro et José Carlos Figueiredo (n°27).
Les places d’honneur ont été prises par les Belges Michel Decremer et Jennifer Hugo (n°7), 4e de cette SR2, ce qui permet aux vainqueurs du dernier Rallye Monte-Carlo Historique de pointer en tête du classement général mercredi soir, dans leur ID3 du Belgian VW Club, devant les vainqueurs de l’an dernier, le duo espagnol Eneko Conde-Lukas Sergnese (Kia EV6 GT). Quant à la 5e place, elle est revenue à un autre Belge, Bruno Thiry (n°17), le champion d’Europe des rallyes en 2003, associé à Laurent Secrétin dans une ID4.
Une chose est déjà sûre, après deux spéciales seulement (sur 14) : cette 8eédition du E-Rallye Monte-Carlo va être intense, acharnée, indécise de bout en bout. Bien malin qui pourrait prévoir le nom de l’équipage victorieux, samedi soir. Et dès jeudi, avec quatre spéciales de régularité au programme, chaque jour, il y aura encore de nombreuses opportunités de briller pour les équipages les plus performants. A suivre.
Le combat des chefs a commencé fort, dans ce 8e E-Rallye Monte-Carlo. Mercredi après-midi dans la SR1 entre le Col de Braus et Peira-Cava, l’Espagnol Eneko Conde (Kia EV6 GT), vainqueur l’an dernier, et le Français Didier Malga (Tesla Model 3), victorieux en 2017, ont partagé les points. Ils ont terminé 1er ex-aequo (80 points de pénalité chacun), sur 15,7 km, grâce à leurs très expérimentés copilotes, Lukas Sergnese dans la Kia et Anne-Valérie Bonnel dans la Tesla. C’était une entrée en matière réussie, malgré des conditions météo totalement inattendues, pluie et brouillard, pour les 63 équipages partis, en plein soleil, de la Place du Casino de Monte-Carlo à l’heure de la sieste.
Derrière ces deux anciens vainqueurs, un duo belge a brillé, composé de Bernard Heine et Valérie Piette, dans une VW ID7 Tourer. A la 4e place, les leaders actuels de la Bridgestone FIA ecoRally Cup, les Tchèques Michal Zdarsky et Jakub Nabelek, dans leur Hyundai Kona, ont devancé deux autres Belges, Michel Decremer et Jennifer Hugo. Vainqueurs en février du Rallye Monte-Carlo Historique, dans une vénérable Opel Ascona a moteur 100% thermique, ils sont à bord d’une VW ID3 du Belgian VW Club.
Cette SR1 avait été précédée, pour la première fois dans l’histoire du E-Rallye, par un E-Shakedown entre Sainte-Agnès et Peille, un dernier échauffement en plein soleil, avec vue imprenable sur la Méditerranée. Pour finir cette première journée, les 63 équipages devaient encore gravir le célèbre Col de Turini (SR2, 27,8 km), entre Peira-Cava et Sospel. Avant un retour en Principauté pour recharger, sur l’une des 500 bornes de Monaco On, les voitures engagées dans cette 8e édition de « la plus belle manche de la Bridgestone FIA ecoRally Cup », selon Eneko Conde.
Ce sont deux partenaires majeurs du E-Rallye Monte-Carlo, depuis sa création : le groupe Nice Matin et Radio Vinci Autoroutes vont raconter cette 8e édition de l’intérieur, grâce aux équipages d’une BMW i4 et d’une Mini Countryman aux couleurs des deux médias. Dans la grosse berline allemande (N.15), Denis Carreaux et Frédéric Mlynarczyk. Dans la petite anglaisee (N.16), Ilona Laffite et Virginie Decorte, un duo 100% féminin.
Denis Carreaux est le Directeur des rédactions du plus grand quotidien de la région. Il va donner chaque jour, dans les colonnes de Monaco Matin, ses impressions de pilote. Il sait l’importance du E-Rallye Monte-Carlo pour « encourager la mobilité électrique » et montrer une fois de plus « les liens très forts entre Nice Matin et l’Automobile Club de Monaco », a-t-il souligné mercredi, en direct sur les réseaux de l’ACM, juste avant d’en prendre le départ pour la 5e fois. Avec deux grands souvenirs en tête : la 1ère place ex-aequo d’une spéciale de régularité dans le Var, il y a deux ou trois ans, et « une nuit très agitée du côté du Col de Turini, en pleine tempête, quand le levier de vitesses de ma Zoé m’était resté dans les mains ».
Virginie Decorte était la copilote habituelle de Denis lors de ses précédentes participations, mais elle a tout changé cette année : elle a pris le départ dans une Mini Countryman aux côtés d’Ilona Laffite, fille de Bruno et petite nièce de Jacques, le légendaire pilote de Ligier en Formule 1. Ilona n’a que 19 ans, elle est étudiante en journalisme et ravie de participer à son tout premier E-Rallye Monte-Carlo, en tant que benjamine du plateau. Quant à sa copilote, Virginie, elle occupe les ondes de Radio Vinci Autoroutes depuis 2001 et ne rate quasiment jamais cet E-Rallye Monte-Carlo qui, « d’anecdotique au début, est devenu incontournable », juge-t-elle. Les nouveaux instruments de navigation lui plaisent beaucoup et elle souligne que les équipages n’ont plus besoin de chercher désespérément des bornes de recharge, tant l’autonomie des voitures et le maillage du territoire ont progressé en quelques années.
Pour finir, les objectifs des deux équipages Médias sont clairs, nets et précis : rentrer dans le Top 20 pour le duo Carreaux-Mlynarczyk, en se distinguant au passage dans certaines des 14 Spéciales de Régularité au menu de la semaine ; remporter la Coupe des Dames, pour le tandem Laffite-Decorte, face à six autres équipages 100% féminins et deux autres pilotes femmes, une Néerlandaise et une Belge. C’est parti !
Les vérifications techniques et administratives ont pris fin ce mercredi à midi, comme prévu, pour les 63 équipages engagés dans le 8e E-Rallye Monte-Carlo. La parade peut commencer, sur les routes des Alpes-Maritimes, du Var, des Alpes de Haute-Provence, et de l’autre côté de la frontière italienne. Jusqu’à samedi, les spectateurs vont se régaler car le plateau est très relevé, comme toujours.
Pour cette 11e manche (sur 12) de la Bridgestone FIA ecoRally Cup 2024, l’Automobile Club de Monaco (ACM) est particulièrement gâté : 40 modèles différents engagés par 18 constructeurs. Etat des forces en présence, à quelques minutes du Grand Départ sur la Place du Casino, retransmis en direct live sur les comptes FaceBook et YouTube de l’ACM.
Tesla en force
Comme chaque année, la marque Tesla, pionnière américaine de la voiture électrique, est bien représentée : 15 voitures engagées, soit quasiment le quart du plateau, et tous les modèles de la gamme inventée par le milliardaire Elon Musk, de la Model 3 de Didier Malga, vainqueur en 2017, à la Model X et Model Y, en passant par la variante Plaid.
Côté européen, la diversité est au rendez-vous, puisque les Allemands, avec BMW et Volkswagen, sont particulièrement bien représentés. La grande marque bavaroise aligne quatre voitures, dont une i4 pour l’un des équipages Nice-Matin / Radio Vinci Autoroutes, une iX2 pour celui du Yacht Club de Monaco et une iX5 pour la Force Publique de Monaco. Une autre sera engagée par un équipage ukrainien.
Volkswagen aussi
Sa rivale grand public, basée historiquement à Wolfsburg, pourra compter sur une armada de 12 voitures (ID3, ID4, ID5, ID Buzz), grâce notamment à deux clubs très impliqués : le VW ID Drivers Club et le Belgian VW Club qui engage une ID3 pour Michel Decremer, vainqueur en février du Rallye Monte-Carlo Historique, et une ID4 pour Bruno Thiry, champion d’Europe des rallyes en 2003.
Pour épicer le plateau, rien de tel que des voitures coréennes (12 au total), avec une cohorte de modèles divers et variés produit par Kia et Hyundai, les deux grandes rivales de Séoul. D’un côté, des Kia EV6, notamment pour le vainqueur 2023, l’Espagnol Eneko Conde, et des E-Niro, dont celle de l’Italien Guido Guerrini, actuellement 2ème de la Bridgestone FIA ecoRally Cup. De l’autre des Hyundai Kona, à commencer par celle du Tchèque Michal Zdarsky, leader du championnat à deux manches de la fin., et une Ionic 5 engagée par Be Safe, l’association qui raccompagne les fêtards monégasques en fin de soirée.
Première sortie de la R5
Enfin, plusieurs marques françaises vont une nouvelle fois animer ce E-Rallye, avec en vedette la nouvelle Renault 5 « Evolution » de Richard Frau, pour la première sortie officielle, sur les routes, de la dernière-née de la marque au Losange. Il y aura aussi une Zoé, deux Mégane E-Tech, des Peugeot e208, une Citroën C4, une DS3, et une ribambelle d’autres voitures européennes (Audi, Cupra, Fiat, Mini, Volvo, etc.), histoire de bien montrer la vitalité de l’industrie automobile du vieux continent.
Les vérifications techniques sont terminées. En route pour le e-Shakedown et les deux premières spéciales de régularité, SR1 et SR2, restées secrètes jusqu’à une heure du Grand Départ. Le 8e E-Rallye Monte-Carlo, c’est parti !
A quelques heures du lancement du 8e E-Rallye Monte-Carlo, 11e et avant-dernière manche de la Bridgestone FIA ecoRally Cup 2024, l’Automobile Club de Monaco (ACM) proposera une retransmission en direct du Grand Départ, pour la première fois dans l’histoire déjà longue de cette épreuve hors-normes. Découvrez également les différents moyens de suivre l’épreuve.
Mercredi, à partir de 13h45, les internautes pourront se brancher sur les comptes Facebook et YouTube de l’ACM (voir liens ci-dessous) pour assister en direct au Grand Départ des premiers concurrents, à partir de 14h00, sur la somptueuse Place du Casino de Monte-Carlo, lors d’une émission animée par Alexandre Khaldi.
De nombreux invités seront présents aux côtés d’Alexandre, créateur de contenu et grand amateur de sport automobile sous toutes ses formes. Il y aura des personnalités mais aussi des pilotes, chevronnés et amateurs, et des responsables de l’organisation de ce 8e E-Rallye Monte-Carlo dont la liste d’engagés est pléthorique : 18 constructeurs automobiles, 40 modèles différents, pour un total de 63 équipages engagés, de 17 nationalités différentes !
Lors de cette émission en direct, une première dans l’histoire du E-Rallye Monte-Carlo, les grandes lignes de l’épreuve seront évoquées, ainsi que tous les détails du règlement. Les internautes auront ainsi les éléments pour comprendre le principe d’une épreuve de régularité, et quelles sont les subtilités qui permettent à certains équipages de se débrouiller mieux que d’autres, souvent.
Une émission à la fois ludique, pédagogique et surtout interactive, pendant laquelle les internautes pourront poser leurs questions, en direct, sur le chat, à Alexandre Khaldi et ses invités. Ce sera aussi une nouvelle preuve que l’ACM, en plus de penser sans arrêt à de nouvelles initiatives dans le domaine de la mobilité, continue à innover sans relâche, en mettant en place des moyens techniques sans précédent, pour que l’aventure électrique continue à passionner les foules. Cela dure depuis le tout premier Rallye Monte-Carlo des Véhicules Électriques, en 1995…
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Retrouvez le E-Rallye Monte-Carlo dans les colonnes de Nice-Matin et sur les antennes de Radio VINCI Autoroutes (107.7 FM), partenaires de l’évènement. Cette année, 2 équipages formeront l’équipe media et seront en compétition pour vous faire suivre le E-Rallye de l’intérieur. La voiture Nice-Matin (BMW i4 – n°15) sera composée de Denis Carreaux (Rédacteur en chef du groupe) & Frédéric Mlynarczyk tandis que la voiture Radio VINCI Autoroutes (Mini Countryman – n°16) aura à bord Ilona Laffite & Virginie Decorte (animatrice de la station).
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