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Ocon et Alpine : une nouvelle performance française à Monaco ! - Automobile Club de Monaco
acm.mc
Ce n’est pas passé inaperçu ! Esteban Ocon, 3e dimanche du 80e Formula 1 Grand Prix de Monaco : un podium historique dans la lignée des grandes histoires du sport automobile français en Principa...2 days ago
Nouvelle version, avec un départ inédit depuis le Camp de Millo pour ce « monument » du Rallye Monte-Carlo. La montée, dotée d’un fort pourcentage jusqu’au village de La Bollène-Vésubie est très étroite, avec notamment deux épingles spectaculaires à négocier. Les concurrents retrouvent ensuite la route principale du Col de Turini (1607 m), une ascension de 12 kilomètres sans aucune difficulté majeure vu son orientation géographique plein sud.
La première partie reprend en intégralité la spéciale disputée entre 2018 et 2020 (La Cabanette - Col de Braus), à savoir cette fameuse descente vertigineuse aux 16 lacets exposés plein sud. Bifurcation et montée ensuite en direction des Cols de l’Orme (1000 m) et de l’Ablé (1149 m) avant la descente vers la route d’accès au Col de Braus (Bif D54/D2204) caractérisée notamment par ses 4 épingles spectaculaires. La seconde partie de l’épreuve est inédite avec l’enchainement en course des Cols de Braus (1002 m), Saint-Jean (642 m) et de Castillon (706 m).
Grande classique disputée pour la toute première fois en 1965 et très souvent courue jusqu’en 2006 depuis Saint-Sauveur-sur-Tinée, c’est désormais au tour de la commune de Roure d’accueillir depuis l’an dernier le départ de ce chrono légendaire du Col de la Couillole (1678 m). Après une longue ascension vers le point culminant de cette 91e édition du Rallye Monte-Carlo, sur une route étroite au départ, plus rapide ensuite et entrecoupée d’épingles très souvent verglacées, les concurrents doivent ensuite conjuguer avec une descente sur Beuil beaucoup plus large et très rapide, sensations fortes garanties.
L’épreuve reprend exactement la première partie de la spéciale de « Puget-Théniers - La Penne » de 2021, à savoir la montée large et rapide entrecoupée d’épingles jusqu’au Col Saint-Raphaël (876 m). La seconde partie emprunte le début très rapide de « Col Saint-Raphaël / Tourette-du-Château » disputée dans les années 90 et ce jusqu’au carrefour de la route descendant vers Saint-Antonin. Les nombreuses épingles spectaculaires, après le village, font ensuite la particularité de cette épreuve.
Disputé pour la toute première fois en 2021, ce chrono est magnifique en tous points, autant par son tracé, sa topographie que son environnement extérieur ! Superbes enfilades au départ - donné cette année depuis le village de Briançonnet - avec enchaînement de virages très rapides en direction du Col du Buis (1196 m). La première partie de la descente est vertigineuse, très humide et très souvent verglacée à cette époque de l’année. La seconde partie, toute nouvelle, est plus rythmée entre le Val-de-Chalvagne et Entrevaux sur la route de la Clue, tout aussi piégeuse que la première, le long du Ravin-de-Chalvagne, qui comporte également d’importants risques de givre.
Plus connue des spécialistes sous le nom de « Colle Saint-Michel », cette épreuve, disputée pour la première fois en 1981, partait alors de la commune d’Annot. Le départ est donc, depuis l’an dernier, donné en plein coeur du village du Fugeret où débute l’ascension : 12 kilomètres d’une route large, rythmée et très bien exposée jusqu’à la Colle Saint-Michel (1431 m). La descente en direction de Thorame-Haute est beaucoup plus étroite, à flanc de montagne jusqu’à l’arrivée anciennement appelée « Pont de Villaron ». Le risque de verglas est très fréquent à cette époque de l’année et les difficultés d’autant plus prononcées…
La première partie de 5 kilomètres est relativement rectiligne et rapide sur la route du Chaffaut, le long de la Bléone. En revanche, la fin de la spéciale reprend la classique des années 90 (disputée entre 1988 et 1994) à partir de la route de Puimichel. Une route étroite en montée jusqu’au Col de Puimichel (807 m) avant un final vallonné, beaucoup moins sinueux, large et plus rapide. Cette épreuve a été disputée de nuit en 2020.
C’est exactement l’ES1 de 2017 en sens inverse ! Route sinueuse mais sans grande complexité depuis le départ jusqu’au carrefour de la route d’Ubraye. La montée du Col de Laval (1100 m) est ensuite très roulante, tout comme la descente en direction du Val-de-Chalvagne. La fin de la spéciale reprend la portion finale de l’ES 5-8 sur la route très piégeuse de la Clue, le long du Ravin-de-Chalvagne, qui comporte d’importants risques de givre.
Disputée à maintes reprises en sens inverse depuis le début des années 1980 et ce jusqu’en 2013, cette spéciale n’a finalement été parcourue que deux fois dans cette version, en 2008 et 2022. Elle débute par l’ascension du Col Saint-Roch (990 m), dont les nombreux lacets offrent un spectacle de tous les instants. Changement ensuite de versant - exposé Nord - en direction du Col de la Porte (1057 m), avec des portions toujours à l’ombre en janvier. La fin de la spéciale est ensuite beaucoup plus étroite, parsemée de pierres éparses, puis en descente rapide sur la fin jusqu’à Lantosque par la route de Loda qui surplombe la vallée de la Vésubie.
Strictement identique à l’ES1, avec un départ inédit depuis le Camp de Millo pour ce « monument » du Rallye Monte-Carlo. La montée, dotée d’un fort pourcentage jusqu’au village de La Bollène-Vésubie est très étroite, avec notamment deux épingles spectaculaires à négocier. Les concurrents retrouvent ensuite la route principale du Col de Turini (1607 m), une ascension de12 kilomètres sans aucune difficulté majeure vue son orientation géographique plein sud.